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L'Invité·ePhoto Carte blanche à Bernard Descamps : Allen Ginsberg La Rédaction13 novembre 2019 Allen Ginsberg, 1992 © Bernard Descamps Partager Partager Pour sa seconde carte blanche, notre invité de la semaine, le photographe Bernard Descamps revient sur sa séance de prise de vue où il a portraitrisé l’américain Allen Ginsberg, à Paris en 1992. Poète et philosophe, Ginsberg est considéré comme l’une des figures marquantes de la Beat Generation. En 1992, la Fnac de Paris eut la formidable idée d’exposer les photographies de Allen Ginsberg. L’écrivain était à Paris pour une conférence au centre Pompidou. Photographe de l’agence VU, alors filiale du journal Libération, j’appris la nouvelle et fonçais au service photo du journal. Oui. Libération allait faire un long interview de Mr Ginsberg qui serait réalisé par l’excellent journaliste Michel Cressole, que j’accompagnerai pour réaliser les images. Le rendez vous fut pris dans le petit hôtel de St Germain des prés où résidait Ginsberg. L’accueil fut franchement sympathique, l’interview, passionnant. Il dura une bonne partie de la journée, porta sur d’innombrables sujets, artistiques, philosophiques, mais très souvent politiques. Allen Ginsberg était un de ces horribles communistes que le pouvoir américain voyait même en ouvrant son frigo! (phrase d’une chanson de Bob Dylan, grand ami de Ginsberg) Ce fut une journée délicieuse de nostalgie… Tout comme dans ses photographies, des instantanés de la vie quotidienne, en noir et blanc, sans prétention esthétique, Ginsberg adorait raconter avec humour et tendresse ce monde marginal des écrivains, peintres ou musiciens de la beat génération. Ainsi défilaient devant moi toutes mes idoles des années 68! Jack Kerouac, Lawrence Ferlinghetti, ou le jeune Bob Dylan… Aujourd’hui presque tous ces gens ne sont plus. Mais il reste leurs livres, leurs chansons et les photographies, celles de Allen Ginsberg mais aussi les portraits que Richard Avedon a fait de lui, nu, barbu, provocateur, mis en page, en opposition, face à des néo nazis américains dans le livre « sans allusion » de Avedon et James Baldwin. https://allenginsberg.org/ Marque-page0
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