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Partager Partager Lors de ma rencontre avec Delphine Dumont à l’occasion de la première participation de Hangar à la Luxembourg Art Week, elle est revenue sur le contexte et les motivations de cette décision dans le prolongement du réseau European Month of Photography, EMOP. De plus l’année 2026 marquant le 10ème anniversaire de PhotoBrussels Festival, Delphine Dumont retrace cette belle aventure dont elle est à l’origine, qui réunit 52 expositions avec un accent mis sur la scène belge, ce qui rejoint l’un de ses objectifs de départ. Nick Brandt Petero by Cliff, Fiji, 2023 / PhotoBrussels Festival 2026 Autre temps fort pour Hangar qui s’engage avec le CNAP à l’occasion du Bicentenaire de la photographie en accueillant l’exposition des projets issus de la commande nationale française et son volet à destination des artistes photographes belges et/ou résidant en Belgique. Un partenariat inédit que nous dévoile Delphine en avant-première. Robert Mapplethorpe Leather and S&M Underground – Self portrait 1974exposition Galerie Eric Mouchet / PhotoBrussels Festival 2026 Retour à votre première participation à la Luxembourg Art Week : quelles étaient vos motivations ? Nous avions déjà posé des jalons au Luxembourg à travers l’European Month of Photography. le réseau créé par Paul, di Felice (Luxembourg) qui rassemble plusieurs festivals photographiques européens, dont Photo Bruxelles. Nous avons rejoint l’EMOP depuis quatre ans maintenant. Lors de la dernière édition qui vient de s’achever, Hangar a pu exposer et mettre en avant Sylvie Bonnot et Alice Pallot. Sylvie Bonnot était nominée pour le EMOP Arendt Award 2025. Alice Pallot était exposée au Musée National du Luxembourg dans le cadre de Beyond the Frame. Rethinking Photography. De plus Alex Reding, fondateur de la foire étant basé également à Bruxelles cela créait des connexions. Il participe pour la première fois cette année au festival avec sa galerie de Bruxelles autour d’un beau projet réunissant plusieurs photographes luxembourgeois, avec le soutien du Grand-Duché. J’ai réfléchi à sa proposition et nous avons pris un stand dans la section Take off tournée vers l’émergence : des artistes de moins de 35 ans. Alice Pallot, Pic solaire, from the series Algues Maudites – Red Bloom, 2024 courtesy de l’artiste & Hangar Gallery / PhotoBrussels Festival 2026 Quelle était votre proposition au Luxembourg ? Nous avons choisi de montrer Alice dans le prolongement de son exposition au musée National du Luxembourg, sa série « Algues Maudites. A Sea of Tears » autour de la menace des écosystèmes par le phénomène de photosynthèse et de prolifération des algues vertes. C’est une artiste que nous suivons depuis plusieurs années et avions déjà exposé dans le cadre du projet « Unique – Beyond Photography ». Nous exposions également l’artiste hongroise Kira Kràsz qui avait répondu à notre appel à projet pendant le confinement, ses projets Living Sense of home et From Marble to Stone. Elle réalise de petits collages très délicats à partir de papiers anciens et de photos vintage. Une œuvre unique et un travail extrêmement raffiné. Kira faisait partie aussi de l’exposition « Unique » au Hangar. Laure Winants est une artiste chercheuse belge qui a réalisé la série Time Capsule lors de sa résidence à bord de la goélette scientifique Tara. Ses recherches transdisciplinaires la conduisent au cœur de la banquise pour explorer dans ce premier volet les phénomènes de lumière en Arctique à partir de photogrammes conçus avec des découpes de glace prélevée sur place. Trois univers très différents, trois femmes photographes qui interrogent le processus du temps et de la nature. © Philippe Braquenier Projet Earth not a globeExposition Contretype / PhotoBrussels Festival 2026 Que bilan de Paris Photo ? C’était très positif puisque que le travail de Sylvie Bonnot « Le Royaume des moustiques » a été rendu très visible. Il y a eu beaucoup de retombées presse et beaucoup d’intérêt pour cette pratique très particulière de la mue (soulèvement de la membrane argentique de ses tirages), assez unique en son genre. Nous avons eu un public de qualité aussi bien en ce qui concerne les institutions, journalistes, collectionneurs. Au niveau des ventes, malgré des bilans un peu euphoriques ici et là, dans le secteur émergeant, c’est un peu moins le cas. Je reste malgré tout optimiste avec de bons premiers contacts et l’année dernière, nous avons vendu trois œuvres d’Alice, six mois à un Américain qui était venu à Paris Photo. Bien entendu l’idéal reste d’avoir fait des ventes et de pouvoir rentrer dans ses frais. Cela reste un beau succès d’estime qui récompense tous les efforts fournis par l’équipe. Lee Schulman The Anonymous Projectexposition Hangar / PhotoBrussels Festival 2026 Lee Schulman The Anonymous Projectexposition Hangar / PhotoBrussels Festival 2026 En ce qui concerne les 10 ans de PhotoBrussels Festival : quels temps forts ? L’inauguration est prévue le 22 janvier avec un total de 52 expositions et un accent mis sur la scène belge puisque parmi les 120 artistes, la moitié sont belges. Je suis très heureuse de cette célébration car c’était le pari au départ de ce festival, que l’on puisse montrer ces photographes liés à la Belgique. Il n’y a pas tellement de galeries qui consacrent leur espace à la photographie et aux photographes et là on réalise que 10 ans plus tard, c’est gagné ! Parmi les nouveautés 2026 : les photo Days, les journées de lancement pour proposer des évènements autour de tout le week-end (workshop, rencontres, visites guidées, signatures…). A Hangar nous proposons à cette occasion la première exposition de Lee Shulman / The Anonymous Project en Belgique « The House ». De plus la restauration et piétonnisation complète de la Place du Châtelain va nous permettre une signalétique particulière et une exposition hors les murs de Robin Lopvet « Objets Trouvés ». Robin Lopvet, Objets trouvés. Exposition Hangar / Place du châtelain / PhotoBrussels Festival 2026 En 2026 également, Hangar s’associe avec le CNAP autour de la célébration du Bicentenaire avec un appel à candidatures, pouvez-vous nous en dévoiler les enjeux ? Hangar est l’un des lieux labélisés pour la célébration du Bicentenaire, L’évènement est prévu en septembre 2026 avec l’exposition des projets français et belges. Étant membre du Jury du CNAP lors de mes échanges avec Pascal Beausse, il a évoqué la possibilité d’une itinérance de l’exposition des projets au Hangar. J’ai accepté dans la mesure où la commande pouvait être élargie à la scène belge à travers un appel à candidatures sur ce thème de « réinventer la photographie ». Nous avons reçu 100 dossiers ce qui à l’échelle du pays est un vrai succès pour une démarche relativement inédite en Belgique alors que le CNAP lance régulièrement des commandes. Les dossiers sont de grande qualité. Aux 15 lauréats de la scène française l’on ajoute donc 5 belges. Cette exposition est réalisée avec le soutien de l’ambassade de France. Katherine Longly CAT ISLAND BLUES –Exposition L’enfant Sauvage / PhotoBrussels Festival 2026 © Tarrah Krajnak Self-Portrait as Weston/as Bertha Wardell, 1927/2020.exposition Fondation A / PhotoBrussels Festival 2026 Cela pose la question des spécificités de la photographie belge ? Qu’en pensez-vous ? C’est une bonne question. S’il existe vraiment une scène belge, il est difficile de la définir à travers des spécificités. Il faut y regarder de près sans les enfermer dans des catégories pour autant. Une chose est sure : bien que la scène française ou hollandaise pourrait semble un peu écrasante, les Belges ont tout à fait leur mot à dire ! ACTUELLEMENT À HANGAR hangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 Brussels ven19sep(sep 19)12 h 00 mindim21déc(déc 21)18 h 00 minNick BrandtThe Day May Breakhangar photo art center gallery, 18, Place du Châtelain 1050 Brussels Détail de l'événementPhoto. Kuda and Sky II, Zimbabwe 2020 © Nick Brandt The Day May Break (2020-2024) est la dernière série d’images du photographe anglais Nick Brandt. Composée de quatre volets à travers Détail de l'événement Photo. Kuda and Sky II, Zimbabwe 2020 © Nick Brandt The Day May Break (2020-2024) est la dernière série d’images du photographe anglais Nick Brandt. Composée de quatre volets à travers quatre continents – chacun donnant lieu à un livre –, cette œuvre monumentale explore les répercussions du dérèglement climatique sur les êtres vivants, humains et non humains. Conçue dans une période charnière où les catastrophes écologiques et sociales se multiplient, la série s’inscrit dans l’urgence d’un monde en mutation. A travers des portraits d’être humains déplacés ou menacés par des catastrophes climatiques et d’animaux recueillis en refuge, souvent incapables de retourner à l’état sauvage, Nick Brandt poursuit ici un engagement profond en faveur de la justice écologique et sociale en soulignant les liens de plus en plus visibles qui les unissent face à une même vulnérabilité. Nick Brandt compose des tableaux puissants qui brouillent la frontière entre allégorie et documentaire. Dans les deux premiers chapitres, les sujets sont enveloppés de brume, accentuant une atmosphère suspendue, presque irréelle, comme si la fin d’un monde et l’aube d’un autre se rencontraient dans l’instant fragile de la prise de vue. Empreintes de silence et d’émotion, ses photographies allient beauté et désolation, évoquant à la fois la tendresse et la perte. Elles transcendent les frontières géographiques et culturelles pour rappeler que la crise climatique est une réalité universelle : qu’ils vivent au Zimbabwe, en Bolivie, aux îles Fidji ou en Jordanie, les visages de cette série incarnent tous une même lutte, une même dignité. Ils font tous partie des nombreux pays qui sont les moins responsables de la crise climatique. Leurs émissions de carbone à l’échelle mondiale sont, et ont toujours été, infimes comparées à celles des nations industrialisées. Pourtant, ils subissent de manière disproportionnée les effets de cette crise. L’ironie du sort réside dans le fait que de nombreuses personnes dans ces pays sont les plus vulnérables face aux conséquences désastreuses des modes de vie du monde industriel. En parcourant ces images, le spectateur est invité à ralentir, à ressentir, à réfléchir. Il ne s’agit pas seulement de constater une tragédie en cours, mais de se demander quel rôle nous voulons jouer : serons-nous témoins passifs d’un effondrement ou artisans du renouveau ? The Day May Break nous rappelle avec force que l’aube du changement dépend des choix que l’humanité fait aujourd’hui. «The Day May Break… and the world may shatter. Or perhaps…the day may break…and some kind of dawn still come. Humanity’s choice. Our choice.» Nick Brandt est né et a grandi à Londres, où il a étudié la peinture et le cinéma à la Saint Martin’s School of Art. En 1995, alors qu’il réalise le clip épique Earth Song de Michael Jackson en Tanzanie, il tombe amoureux des animaux et des paysages d’Afrique de l’Est. En 2001, Nick Brandt décide de se consacrer entièrement à la photographie et entame ses premières séries dont une trilogie emblématique composée de On This Earth, A Shadow Falls et Across The Ravaged Land (2001-2012) réalisée en Afrique de l’Est. Il poursuit sa pratique photographique avec Inherit the Dust (2016) où il met en lumière le contraste entre nature et progrès destructeur et This Empty World (2019) qui révèle un monde où la cohabitation entre humanité et nature devient de plus en plus impossible. En 2010, il cofonde l’organisation à but non lucratif Big Life Foundation, dédiée à la protection des écosystèmes africains à travers la collaboration avec les communautés locales et la lutte contre le braconnage. Depuis 2020, il travaille sur The Day May Break, un projet qui réunit à ce jour quatre chapitres, mêlant humains et animaux touchés par le changement climatique et la destruction de l’environnement. Toutes les séries sont publiées sous forme de livres. Les œuvres de Nick Brandt sont régulièrement exposées à l’international, en galeries et dans des musées à travers le monde, notamment à la Fotografiska (Stockholm), à la Fahey/Klein Gallery (Los Angeles) ou encore à la Edwynn Houk Gallery (New York). Sa série The Day May Break a été exposée dernièrement à la Newlands House Gallery (Petworth), au Chungmu Art Center (Séoul), à la Fahey/Klein Gallery (Los Angeles) et l’ensemble du projet – Chapitre un à quatre – sera présenté en 2026, à la Polka Galerie (Paris) et à la Gallerie d’Italia (Turin). Les quatre chapitres sont ainsi présentés pour la première fois ensemble au Hangar, avec une avant-première du chapitre quatre The Echo of Our Voices encore inédit. Ses livres tels que On This Earth (2005), A Shadow Falls (2009), Across the Ravaged Land (2013) sont devenus des références dans le domaine de la photographie environnementale. Le lancement officiel du livre The Echo of Our Voices, quatrième chapitre de The Day May Break publié par Skira Editore (Milan), aura lieu à l’occasion de l’exposition au Hangar. Nick Brandt a reçu de nombreux prix pour son travail photographique et son engagement écologique, dont le Lucie Award for International Photographer of the Year (2009) et le Green Good Design Award (2017). Dates19 Septembre 2025 12 h 00 min - 21 Décembre 2025 18 h 00 min(GMT+00:00) Lieuhangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 BrusselsOther Events hangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 BrusselsOuvert du mardi au samedi de 12:00 à 18:00 hangar photo art center gallery Get Directions CalendrierGoogleCal hangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 Brussels ven19sep(sep 19)12 h 00 mindim21déc(déc 21)18 h 00 minCharlotte AbramowMAURICE, Tristesse et rigoladehangar photo art center gallery, 18, Place du Châtelain 1050 Brussels Détail de l'événementPhoto. MAURICE, Tristesse et rigolade, 2018 © Charlotte Abramow « MAURICE, Tristesse et rigolade » raconte l’histoire d’un combat, celui d’un homme face à la maladie, et d’une renaissance, portée par Détail de l'événement Photo. MAURICE, Tristesse et rigolade, 2018 © Charlotte Abramow « MAURICE, Tristesse et rigolade » raconte l’histoire d’un combat, celui d’un homme face à la maladie, et d’une renaissance, portée par l’amour d’une fille. Entre narration documentaire et conte surréaliste, ce récit visuel et poétique résonne comme un hommage éternel de la photographe belge Charlotte Abramow à son père, Maurice. Pour la première fois, cette œuvre intime prend la forme d’une exposition immersive, présentée au Hangar. Maurice fut le tout premier modèle que Charlotte photographia en studio. À 17 ans, elle pressentait déjà que la photographie allait guider sa vie, sans imaginer que son père deviendrait, quelques années plus tard, le cœur de son premier livre. Publié en 2018 grâce au soutien de 777 contributeurs, « MAURICE, Tristesse et rigolade » a vu le jour après le décès de Maurice, qui n’en connaîtra jamais la parution. Sept ans plus tard, Charlotte Abramow revisite ce projet avec une force nouvelle. À travers cette exposition, elle ravive le souvenir d’un homme hors du commun : un médecin, un professeur, un enfant juif caché pendant la guerre, mais surtout un père plein de tendresse, d’esprit et de fantaisie. Nourrie des archives familiales, l’exposition déploie un récit profondément humain, entre rire et émotion. Peut-on dire que la vie de Maurice s’achève en apothéose ? Si l’amour en est la mesure, alors assurément, oui. Face à la maladie et aux séquelles d’un coma post-anoxique, Charlotte a su transformer l’épreuve en création. Ensemble, père et fille ont inventé un nouveau langage : gestes, regards, complicité silencieuse… Le regard de Maurice, capté par la photographe, devient miroir et messager. Il est la muse, elle est l’artiste. Ensemble, ils tissent un conte intime, enchanteur, lumineux. « MAURICE, Tristesse et rigolade » est l’histoire d’un lien indéfectible, d’un amour qui refuse l’oubli. L’histoire d’une transmission, d’une révélation artistique. Maurice savait-il que, dans ces instants suspendus entre les rires et les larmes, sa fille accomplissait ses premiers pas d’artiste ? Et qu’en se prêtant ainsi à son objectif, il lui léguait un trésor – celui de se découvrir, de créer, et de construire une œuvre profondément personnelle. Née en 1993 à Bruxelles (Belgique), Charlotte Abramow s’intéresse à l’image dès son plus jeune âge. À 13 ans, elle photographie ses amies et des jeunes filles qui l’inspirent, créant à chaque fois une petite histoire. À 16 ans, lors d’un stage aux Rencontres d’Arles (France), elle rencontre Paolo Roversi (1947), photographe de mode et portraitiste italien. L’année suivante, il rédige un article sur ses images, intitulé «La fragilité et l’âme d’une guerrière» paru dans Polka Magazine en 2011. En 2013, Charlotte Abramow s’installe à Paris pour étudier à Gobelins, l’École de l’Image. Son travail remporte le Prix Picto de la Jeune Photographie de Mode en 2014 et aborde principalement le rapport au corps, les femmes et les étapes de la vie, mettant en scène les éléments de manière absurde dans un monde teinté de surréalisme. À 24 ans, l’artiste prend en charge la direction visuelle du projet BROL de la chanteuse belge Angèle dont elle réalise toutes les photographies. À l’occasion de cette rencontre artistique, elle fait ses premiers pas en tant que réalisatrice avec « La Loi de Murphy » et « Je Veux Tes Yeux ». En 2018, elle réalise aussi le clip « Les Passantes » de Georges Brassens, qui sort le 8 mars pour la Journée Internationale de lutte pour les Droits des Femmes. Le même jour, il est censuré aux moins de 18 ans par la plateforme YouTube pour « contenu offensant ». À l’automne 2018 paraît son premier ouvrage : « MAURICE, Tristesse et rigolade » sur la maladie de son père (Éditions Fisheye), f inancé par 777 contributeurs sur Kickstarter en 2016. Alors que le projet est en construction, il reçoit en 2017 une mention spéciale aux Photo Folio Review Awards des Rencontres d’Arles. En parallèle, la photographe expose sa série « They love Trampoline » à Paris Photo avec la Galerie Fisheye en 2018. En 2019, le livre « MAURICE, Tristesse et rigolade » est finaliste du Prix Nadar. La même année, Charlotte Abramow réalise le clip « Balance ton Quoi » d’Angèle avec Pierre Niney. Début 2020, elle conçoit et réalise « Le Petit Manuel Sex Education » pour Netflix. Cet objet éditorial de 64 pages sur le thème de l’éducation sexuelle est fait de photos et de textes et est distribué gratuitement à 75 000 exemplaires en France. En 2021, Charlotte Abramow présente ses premières expositions personnelles : « Première Page » à Fisheye Gallery (Arles, France) et « Started From The Body » à Richard Taittinger Gallery (New York, USA). En 2022, elle réalise sa première grande exposition rétrospective « Volle Petrol » au Hangar (Bruxelles, Belgique) et une exposition « Piquées » sur les abeilles et les apicultrices à la Maison Guerlain (Paris, France). Parmi ses nombreux projets : un court-métrage pour Arte (un épisode de la série H24 sur les violences faites aux femmes), l’affiche de la Semaine de la Critique à Cannes (2022), un clip pour la chanteuse Suzane (Clit is Good), les photographies du dernier album de Damso (BEYAH) ainsi que de nombreux portraits de personnalités pour la presse. En 2025, elle tient plusieurs expositions : « Rêves de Jeux » sur les grilles de la Tour-Saint-Jacques (Paris, France), « La tête haute » un projet sur la psychiatrie avec la Fédération Hospitalière de France présenté à la Fisheye Gallery (Paris, France), ainsi que « Volle Pétrol Twee » au Fort Napoléon (Ostende, Belgique). Dates19 Septembre 2025 12 h 00 min - 21 Décembre 2025 18 h 00 min(GMT+00:00) Lieuhangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 BrusselsOther Events hangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 BrusselsOuvert du mardi au samedi de 12:00 à 18:00 hangar photo art center gallery Get Directions CalendrierGoogleCal hangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 Brussels ven07nov(nov 7)12 h 00 mindim21déc(déc 21)18 h 00 minAntoine De WinterAll the places and the places betweenhangar photo art center gallery, 18, Place du Châtelain 1050 Brussels Détail de l'événementAll the places and the places between explore l’apparition photographique comme une persistance rétinienne du soleil, un écho qui se transforme en murmure, une mémoire qui se brise. Cette série Détail de l'événement All the places and the places between explore l’apparition photographique comme une persistance rétinienne du soleil, un écho qui se transforme en murmure, une mémoire qui se brise. Cette série révèle le lieu tout en le fragmentant, permettant à la mémoire de se fissurer et de se recomposer selon des géologies intimes, où la réalité oscille entre émergence et disparition, transformant le souvenir en un territoire hybride. Le photographe a développé des techniques singulières pour créer des images avec le sel et la terre de Cadaqués. L’eau dialogue avec la roche, le paysage s’inscrit dans sa propre matière. Le sel cristallise et sculpte l’image en reliefs montagneux, jusqu’à ce que la pierre donne à nouveau naissance à la mer. Dates7 Novembre 2025 12 h 00 min - 21 Décembre 2025 18 h 00 min(GMT+00:00) Lieuhangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 BrusselsOther Events hangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 BrusselsOuvert du mardi au samedi de 12:00 à 18:00 hangar photo art center gallery Get Directions CalendrierGoogleCal https://hangargallery.be INFORMATIONS PRATIQUES hangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 Brussels jeu22jan12 h 00 mindim22fev18 h 00 minPhotoBrussels Festival 10hangar photo art center gallery, 18, Place du Châtelain 1050 Brussels Détail de l'événementPhoto : People in Mirror are closer than they appear © Pixy Liao (Stieglitz 19) Pour sa 10ème édition, le festival réunit 52 expositions portées par des galeries d’art contemporain, home Détail de l'événement Photo : People in Mirror are closer than they appear © Pixy Liao (Stieglitz 19) Pour sa 10ème édition, le festival réunit 52 expositions portées par des galeries d’art contemporain, home galleries, centres d’art et musées, qui offrent autant de regards singuliers sur le médium photographique. Plus de 100 artistes — dont la moitié sont belges — y explorent la richesse et la diversité d’un langage visuel profondément ancré dans notre époque, à la rencontre d’un public toujours plus large et curieux. La 10ème édition se déroulera du 22 janvier au 22 février 2025 Dates22 Janvier 2026 12 h 00 min - 22 Février 2026 18 h 00 min(GMT-11:00) Lieuhangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 BrusselsOther Events hangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 BrusselsOuvert du mardi au samedi de 12:00 à 18:00 hangar photo art center gallery Get Directions CalendrierGoogleCal 52 expositions | 120 artistes | 55 belges | 1 mois de célébration Lieux participants : Archiraar, Artixa Gallery, Berlin Brussels Art Projects, Box Galerie, Brass, Centre Culturel Jacques Franck, Chapitre XII, Chez Olivia, Cloud Seven, Contraste, Contretype, Entry Gallery, Espace Intermédiaire, Flagey, Fondation A, Frederick Mouraux Gallery, Galerie Eric Mouchet, Galerie Fontana, Galerie La Forest Divonne, Géopolis, Hangar, Imaginaire, In/Dependance & Ibasho, Irene Laub, Jap, Klotzshows, L’Enfant Sauvage, La Nombreuse, Lage Egal, Lee Bauwens, Maison des Arts d’Uccle, Maison Pelgrims, Medor, Melissa Ansel, Michèle Schoonjans Gallery, Modesti Perdriolle, Nosbaum Reding, Pianofabriek, Pinguin Space, Place du Châtelain, Plagiarama, Saint-Martin Bookshop, Schönfeld Gallery, Spazio Nobile, Stieglitz 19, Studio Baxton, The K Art Signatures, The Palm Beach, Tiny Gallery, Visual Gallery, Vue Gallery, Zwart Huis. A Hangar : • The House – Lee Shulman (GB, 1973) /The Anonymous Project Family stories • Cristóbal Ascencio (MX, 1988), Sanne De Wilde (BE, 1987), Deanna Dikeman (US, 1954), Lee Daesung (KO, 1975), Alma Haser (DE, 1989), Francesca Hummler (DE/US, 1997) et Danilo Zocatelli (BR, 1989). • Le Royaume des moustiques – Sylvie Bonnot (FR, 1982) À LIRE Rencontre avec Delphine Dumont, Hangar, Bruxelles : « Interroger l’essence même du médium photographique et son caractère unique » Interview Delphine Dumont, Mirror of self, Hangar et PhotoBrussels Festival #7 Delphine Dumont, PhotoBrussels Festival 06 : à Hangar des pratiques plus éco-responsables Entretien avec Delphine Dumont : Martin Parr, Unseen Amsterdam et Photo Brussels Festival 2022 Delphine Dumont, Hangar, Bruxelles trajectoires de vie et de collectionneurs : « Regarde mon histoire » & « Lost & Found » Rencontre avec Delphine Dumont, directrice du Hangar et de PhotoBrussels Festival Marque-page0
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