Des actes de vandalisme de plus en plus nombreux sur le territoire. Une exposition en mémoire de la Résistance détruite ! 2 heures ago
Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle 1 heure ago
Photo London 2025, Interview Sophie Parker, directrice : « Une édition emblématique pour célébrer les 10 ans de Photo London ! » 3 jours ago
L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique 6 jours ago
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 30 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 7 et fin) 7 mai 2025
Masterclass Oeildeep : « L’appel de l’horizon », un renouveau immortalisé par Rebecca Rubcke 2 mai 2025
Numa Hambursin, MO.CO. Saison art & science, Françoise Pétrovitch et Jean-Marie Appriou (à venir) 4 jours ago
Art Brussels Off,Interview Silja Hubert, exposition VOR, Ambassade d’Islande x Résidence Huet-Repolt 6 jours ago
Partager Partager PhotoPortfolio Anitya, une série photographique d’Isabelle Chapuis La Rédaction1 mars 2019 Temps de lecture estimé : 2minsCette semaine, nous souhaitons partager avec vous la dernière série d’Isabelle Chapuis intitulée Anitya, qui signifie Impermanence en Sanskrit. Réalisées lors de sa résidence dans le cadre de la 9ème édition du festival Planche(s) Contact à Deauville, ses images avaient été exposées en extérieure, sur les bords de mer de la cité balnéaire Normande. Tandis que de nombreuses rives se dénudent de leur couverture de sable, denrée devenue rare, les vagues de Deauville, elles, ramènent ce manteau sur le rivage, faisant croître jours après jours la plage, caractéristique de cette ville balnéaire. Ce sable en devient une icône. Sa couleur, singulière lorsqu’il est humide, est même utilisée comme référence chromatique en teinte Chanel ou Pantone. Isabelle Chapuis porte son regard sur ce sable, éternel voyageur et symbole de tous les possibles… De l’infiniment grand à l’immensément petit, il évoque l’individualité humaine; tous semblables mais tous uniques. Dans ses amas, il devient abondance ; dans sa légèreté il coule, fluide, sur la peau telle une pluie insaisissable; purificateur il est abrasif comme le feu. La peau et le sable. Isabelle Chapuis les rapproche. L’un seuil du corps physique, l’autre lisière entre la terre et la mer, ils se répondent en métaphores. Ces deux frontières deviennent alors des zones de contact, de rencontres, des dialogues éphémères et sensuels que la photographe capture. Isabelle nous livre ainsi une vision du temps, cyclique et en spirale, inspirée des cultures orientales. Résister à Anitya, l’impermanence en sanskrit, est selon le bouddhisme une cause de souffrance. L’espace temps est mouvant. Ses cycles invoquent le mythe du Phénix : éclosion, transformation, passage, dissolution, puis renaissance. Tour à tour atout magique des yeux de l’enfance pour le marchand de sable, matière pour l’alchimiste, instrument de création pour les bâtisseurs d’utopie et leurs châteaux, s’écoulant dans l’isthme du sablier franc-maçonnique, il est emblématique du passage de l’état de profane à celui d’initié… Le sable porte en lui la promesse d’un changement, impermanent il image un horizon sans fin. Une narration poétique marquée d’une absence de rapport au temps, donnant au sable un goût d’éternité. A LIRE La 9ème édition du festival Planche(s) Contact de Deauville inaugurée http://www.isabellechapuis.com Marque-page3
Coup de Gueule de Wilfrid Estève : Les photographes pris pour cible dans les manifestations Gilets Jaunes
L'Interview Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle L’IA innerve de façon croissante nos usages quotidiens, tout en bouleversant les fondements mêmes de notre culture visuelle. Le Jeu de Paume ...
News Un prix du World Press Photo suspendu 52 ans après son attribution En 1973, l’un des plus prestigieux prix consacrés au photojournalisme, le World Press Photo, décernait le célèbre titre de Photo de l’année ...
News Des actes de vandalisme de plus en plus nombreux sur le territoire. Une exposition en mémoire de la Résistance détruite ! Depuis le 7 mai dernier, la Mairie de Paris du 3ème arrondissement présentait sur ses grilles, une exposition en mémoire au résistant ...
L'Interview Photo London 2025, Interview Sophie Parker, directrice : « Une édition emblématique pour célébrer les 10 ans de Photo London ! »
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Des actes de vandalisme de plus en plus nombreux sur le territoire. Une exposition en mémoire de la Résistance détruite ! 2 heures ago
Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle 1 heure ago
Photo London 2025, Interview Sophie Parker, directrice : « Une édition emblématique pour célébrer les 10 ans de Photo London ! » 3 jours ago
L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique 6 jours ago
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 30 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 7 et fin) 7 mai 2025
Masterclass Oeildeep : « L’appel de l’horizon », un renouveau immortalisé par Rebecca Rubcke 2 mai 2025
Numa Hambursin, MO.CO. Saison art & science, Françoise Pétrovitch et Jean-Marie Appriou (à venir) 4 jours ago
Art Brussels Off,Interview Silja Hubert, exposition VOR, Ambassade d’Islande x Résidence Huet-Repolt 6 jours ago
Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle