Carte blanche à Emmanuelle de l’Ecotais : Photo Days, un nouveau festival de photographie à Paris 7 heures ago
Interview Sylvie Bonnot et Keen Souhlal, artistes et Gérard Azoulay, responsable Observatoire de l’Espace 1 jour ago
Le Barreau des Arts en aide aux auteur·es précaires Rencontre avec Lucie Tréguier et Corentin Schimel 1 jour ago
Joji Hashiguchi : We have no place to be – 1980-1982 Sur les chemins de la désillusion 19 janvier 2021
Marie de Brugerolle « Than Hussein Clark et Luigi Serafini franchissent des frontières et catégories de l’art habituellement acquises » 7 heures ago
Interview Sylvie Bonnot et Keen Souhlal, artistes et Gérard Azoulay, responsable Observatoire de l’Espace 1 jour ago
Ariane van Suchtelen, musée Mauritshuis (Pays-Bas) : les odeurs dans l’art au Siècle d’Or 6 jours ago
L'ActuNewsPhoto La 39ème édition du Prix Hasselblad décerné à Daido Moriyama La Rédaction25 mars 2019 © Daido Moriyama Partager Partager Temps de lecture estimé : 2minsLa Fondation Hasselblad vient de communiqué le nom de son 39ème lauréat, il s’agit du photographe japonais Daido Moriyama. Doté de 110 000 $US, le prestigieux prix lui sera remis lors d’une cérémonie qui se déroulera à Göteborg, en Suède, le 13 octobre prochain qui accompagnera l’ouverture de son exposition au Hasselblad Center et la sortie de son nouveau livre publié aux éditions Verlag. Le jury international du Prix 2019 était composé de : – Paul Roth, Président, conservateur et directeur Ryerson Image Centre, Toronto (Canada) – Ann-Christin Bertrand, Conservatrice de la Fondation c/o Berlin (Allemagne) – Susanna Brown, Conservatrice du département Photographie au Musée Victoria & Albert de Londres (Royaume-Uni) – Kristen Lubben, Directrice de la Fondation Magnum à New York (USA) – Thyago Noguiera, Conservateur à l’Institut Moreira Salles de São Paulo (Brésil) “Daido Moriyama est l’un des photographes japonais les plus renommés, célèbre pour son approche radicale du médium et du sujet. Ses photographie adoptent une approche très subjective mais authentique. Reflétant une vision brute de la société urbaine et des ses marginaux. Moriyama est devenu l’artiste le plus connu du mouvement Provoke, qui a joué un rôle important en libérant la photographie de ces traditions. Son style et son travail a contribué à la reconnaissance générale de la photographie japonaise à l’international. Influencé par le photographe William Klein, les textes de Jack Kerouac et de James Baldwin, et l’œuvre théâtre de Shūji Terayama, Moriyama inspire à son tour des générations de photographes, non seulement au Japon, mais également dans le partout dans le monde.” http://www.hasselbladfoundation.org/wp/hasselblad-award-winner-2019/ A LIRE : Moriyama, Weegee, Atget : 3 maîtres de la photographie à la SAGE Galerie Les meilleurs stands de Paris Photo et… les pires La 22ème édition de Paris Photo en 10 coups de coeur Eyes Wild Open, une exposition et un livre sur une photographie qui tremble Oscar Muñoz, Lauréat du Prix de la Fondation Hasselblad 2018 Rineke Dijkstra, lauréate du Prix Hasselblad 2017 Bookmark1
Evénements Ouverture de PhotoBrussels Festival 5ème édition : The Other side of the Window J’avais interviewé Delphine Dumont, directrice de PhotoBrussels Festival le 1er décembre et j’avais hâte de découvrir « The World Within », ces ...
Interview Art Contemporain Interview Sylvie Bonnot et Keen Souhlal, artistes et Gérard Azoulay, responsable Observatoire de l’Espace C’est le 19 octobre 1990 que Renos Xippas inaugure sa galerie dans le Marais sur les trois niveaux du bâtiment de la ...
L'Actu La photographie au placard ! Quand tu penses que tu as touché le fond et que tu te rends compte qu’il y a encore un gouffre, sous ...
Carte blanche à Emmanuelle de l’Ecotais : Photo Days, un nouveau festival de photographie à Paris 7 heures ago
Interview Sylvie Bonnot et Keen Souhlal, artistes et Gérard Azoulay, responsable Observatoire de l’Espace 1 jour ago
Le Barreau des Arts en aide aux auteur·es précaires Rencontre avec Lucie Tréguier et Corentin Schimel 1 jour ago
Joji Hashiguchi : We have no place to be – 1980-1982 Sur les chemins de la désillusion 19 janvier 2021
Marie de Brugerolle « Than Hussein Clark et Luigi Serafini franchissent des frontières et catégories de l’art habituellement acquises » 7 heures ago
Interview Sylvie Bonnot et Keen Souhlal, artistes et Gérard Azoulay, responsable Observatoire de l’Espace 1 jour ago
Ariane van Suchtelen, musée Mauritshuis (Pays-Bas) : les odeurs dans l’art au Siècle d’Or 6 jours ago
Marie de Brugerolle « Than Hussein Clark et Luigi Serafini franchissent des frontières et catégories de l’art habituellement acquises »