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Partager Partager L'Invité·ePhoto Carte blanche à Ségolène Brossette : Un label pour la photographie La Rédaction9 mai 2019 Temps de lecture estimé : 2minsPour sa troisième carte blanche, notre invitée de la semaine la galeriste Ségolène Brossette – évoque avec nous une problématique importante en photographie, celle de l’œuvre multiple. Nombreux sont les collectionneurs réticents à l’achat de la photographie à cause de la multiplicité des tirages. L’idée d’un label pourrait venir défendre la marché de la photographie… Le marché de la photographie ne date que de 1970. Auparavant les tirages n’étaient pas numérotés. C’est à partir des années 2000, que les prix de la photographie s’emballent, ainsi que le nombre de ventes publiques et de salons tels que Paris Photo en 1997. Néanmoins, il reste encore un nombre important de personnes qui refusent d’acheter des multiples, qui n’arrivent pas à concevoir la photographie comme œuvre d’art. Comment avoir confiance ? Tout d’abord qu’est-ce qui définit une photographie comme œuvre d’art ? Article 98A de l’Annexe III du Code Général des Impôts : « Sont considérées comme œuvres d’art les photographies prises par l’artiste, tirées par lui ou sous son contrôle, signées et numérotées dans la limite de trente exemplaires, tous formats et supports confondus » Comment être sûr que l’artiste ne va pas vendre plus que ce qui est annoncé ? Personnellement, je me porte garante des artistes. Je suis par conséquent responsable du bon suivi des éditions. Je dois dire qu’il y’a un certain plaisir à dire qu’une édition n’est plus en vente sur le marché, qu’elle n’est plus disponible. Pourquoi ne pas mettre en place une sorte de label qui permettrait d’officialiser les galeries qui suivent le protocole officiel et qui se portent responsable et défendeur du marché de la photographie ? INFORMATIONS PRATIQUES Galerie Ségolène Brossette15 rue Guénégaud, 75006 Paris mar21mai(mai 21)14 h 30 minsam20jul(jul 20)19 h 30 minWork in progressGalerie Ségolène Brossette, 15 rue Guénégaud, 75006 Paris Détail de l'événementÀ l’occasion de la réouverture de la Galerie, 15 rue Guénégaud, j’ai voulu présenter l’ensemble des artistes autour d’un thème : Work in progress. L’idée étant de montrer une œuvre inédite, Détail de l'événement À l’occasion de la réouverture de la Galerie, 15 rue Guénégaud, j’ai voulu présenter l’ensemble des artistes autour d’un thème : Work in progress. L’idée étant de montrer une œuvre inédite, issue d’un travail en cours de réflexion. J’ai demandé à chaque artiste de m’expliquer par écrit quelles étaient ses intentions et comment il se positionnait par rapport à l’art contemporain. J’ai voulu laisser la parole aux artistes autour de questions auxquelles normalement les commissaires d’exposition, les critiques ou même les galeries répondent. Chacun avec son propre univers, sa propre écriture, présente une œuvre annonciatrice d’une réflexion actuelle. Deux axes majeurs en ressortent. D’un côté, il y a ceux qui illustrent le monde en transformation : « the world in progress », à travers des thèmes tels que la quête d’identité, le statut de l’image ou le réchauffement climatique. Par ailleurs, certains artistes se questionnent sur notre origine et notre fonctionnement: le temps, la mémoire du corps, l’unicité des cultures ou le rêve. Christophe Beauregard révolutionne le portrait en inversant la perspective et les codes traditionnels entre les fonds colorés et les tenues neutres. Le temps semble s’arrêter alors que les sujets restent dans une quête perpétuelle et mouvante de leur identité. Sylvie Bonnot questionne le statut de l’image. La photographie est le noyau de son travail mais de par son approche plasticienne, elle tend vers la sculpture ou l’installation, entre autres. Ce qui lui plaît le plus dans la photographie, c’est de l’élaborer dans l’instant ou avec minutie, pour la déconstruire dans son épaisseur avec les moyens plasticiens élaborés dans l’atelier, pour la prendre à bras le corps. Tania Brassesco et Lazlo Passi Norberto, à travers une photographie mise en scène, nous emportent dans des univers chargés de symboles et d’histoire. Le passé ressurgit et laisse transparaître les sentiments enfouis, tel un rêve dont on ne connaît jamais la fin. Fabien de Chavanes représente quatre variations d’une seule et unique chorégraphie d’un personnage vêtu de blanc ou de noir, à l’intérieur d’un cube blanc. Ce cube devient un cadre. Le corps devient un signe. Le corps (signe) devient une mesure du temps à travers ses déplacements. Dans ce dernier travail, Fabien interroge le statut de l’image qui à son tour prend corps. Le personnage, pris entre plusieurs dimensions, en acquiert ainsi une nouvelle. Xavier Dumoulin souhaite témoigner des causes et conséquences du réchauffement climatique révélateur de notre mode de consommation, en représentant une végétation tropicale, au cœur des Pyrénées, la nuit, éclairée par les néons. Christine Mathieu fait ressortir l’unicité des cultures à travers des pièces en textile issues du patrimoine, de collections muséales. Laurence Nicola recrée les images d’un rêve, intemporelles. Elle nous fait perdre nos repères tout en retranscrivant des états, des émotions et des non-dits. Bertrand Robert questionne nos mécanismes mémoriels physiques et émotionnels enregistrés par notre corps, à travers le dessin et l’écriture. Ségolène Brossette, février 2019 Avec les travaux de Christophe Beauregard, Sylvie Bonnot, Tania Brassesco et Lazlo Passi Norberto, Fabien de Chavanes, Xavier Dumoulin, Christine Mathieu, Laurence Nicola, Bertrand Robert. DatesMai 21 (Mardi) 14 h 30 min - Juillet 20 (Samedi) 19 h 30 min LieuGalerie Ségolène Brossette15 rue Guénégaud, 75006 Paris Get Directions CalendrierGoogleCal Favori6
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