Carte blanche à The Analog Club : Gil Rigoulet nous livre son ode à la photographie argentique 3 jours ago
Carte blanche à The Analog Club : Rencontre avec Florian Guillon-Antigny, artisan des procédés alternatifs en argentique 5 jours ago
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 4 jours ago
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « L’appel de l’horizon », un renouveau immortalisé par Rebecca Rubcke 2 jours ago
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
We Are The Painters, Interview, galerie In Situ – fabienne leclerc : recyclage, chevelure et premier degré 3 jours ago
EvénementsPhoto Coupez Décalez : Superette vous invite dans l’univers de Guillaume Chiron La Rédaction18 décembre 2017 Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsL’agence PAM frappe encore un grand coup, avec sa nouvelle exposition « Coupez Décalez ». Vous avez jusqu’au 3 mars 2018 pour visiter l’exposition et entrer dans l’univers décalé de Guillaume Chiron et c’est à Superette, à Paris, que ça se passe. Avec sa passion du collage, il nous donne à voir un monde qu’il façonne avec humour en jouant avec les échelles. Guillaume Chiron mêle le réel à l’irréel, le connu à l’inconnu. D’abord, il déconstruit par prélèvements multiples dans un corpus d’images produites par l’industrie culturelle. Puis il reconstruit et projette un nouveau monde, par la sélection et le rapprochement de quelques-uns de ces fragments. Parfois, le hasard rejoint son travail et la magie opère. Les lignes de fuites se suivent et les perspectives coïncident. De nouvelles scènes apparaissent, drôles ou incongrues, étranges et réflexives. Guillaume Chiron produit bon nombre de ses images surnaturelles sous l’influence du cinéma des années 1950 et 1960. Le plasticien joue avec la taille et le monstrueux. Il y a là un attachement évident à la mise en scène et aux effets spéciaux réalisés de façon intuitive et artisanale. Et on comprend aisément pourquoi l’essentiel de ses sources est ostensiblement vintage. Même tirés de leurs contextes respectifs, les matériaux utilisés déploient naturellement leur pouvoir d’évocation historique. Ils poussent sans détour le spectateur à faire l’expérience de l’espace et du temps. Cette prise de conscience, celle d’être créateur, l’artiste nous la livre aussi dans sa dimension collective. Il nous en rappelle très souvent le contexte. Une falaise n’est même plus le fruit des mouvements terrestres ou des érosions, mais bien celui d’une main et d’un burin. Le grand devant le petit, procédé pourtant classique en matière de découpé-collé, peut prendre ici un sens particulier. Notre espace naturel ne serait plus tout à fait à la taille de notre humanité. L’Homme, dans la Nature, est tel un enfant qui se désintéresserait d’un jouet autrefois convoité. C’est sans émotion qu’il regarde ses ressources s’épuiser. D’ailleurs l’être, qu’il soit humain ou animal, peut devenir un élément de paysage. L’homme est souvent relégué à son statut dérisoire de petit personnage. Il est un héros ridicule plongé dans l’univers bourgeois de la société industrielle. Il est Tarzan ou Superman perdu au milieu de tapisseries et de dorures. Qu’il soit officier de l’armée autrichienne, policier, trappeur ou indien, il est régulièrement reconduit à son propre ridicule, sinon à son statut d’enfant, à force de chevaucher des chiens ou des chatons. Texte d’Anthony Bonnin INFORMATIONS PRATIQUES Coupez Décalez Guillaume Chiron Du 24 novembre 2017 au 3 mars 2018 Superette 104 rue du Faubourg Poissonnière 75010 Paris http://superette.tv http://agencepam.fr Marque-page0
Photo Masterclass Oeildeep : « L’appel de l’horizon », un renouveau immortalisé par Rebecca Rubcke Cette semaine nous terminons la restitution de la Masterclass Oeildeep qui s’est achevée en décembre 2024 sous l’égide de Raphaële Bertho, Bruno ...
News PODA : Un Doisneau à petit prix ! Un an après la sortie de cette collection particulière de photographies en toute petit format et à petit prix, la PODA accueille ...
L'Invité·e Carte blanche à The Analog Club : Flavio Cannalonga – un photographe à (re)découvrir Pour leur quatrième et dernière carte blanche, nos invité·es de The Analog Club — lieu emblématique dédié à la photographie argentique à ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Carte blanche à The Analog Club : Gil Rigoulet nous livre son ode à la photographie argentique 3 jours ago
Carte blanche à The Analog Club : Rencontre avec Florian Guillon-Antigny, artisan des procédés alternatifs en argentique 5 jours ago
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 4 jours ago
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « L’appel de l’horizon », un renouveau immortalisé par Rebecca Rubcke 2 jours ago
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
We Are The Painters, Interview, galerie In Situ – fabienne leclerc : recyclage, chevelure et premier degré 3 jours ago