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L'InterviewPhoto Rencontre avec Baudoin Lebon : « La reconnaissance par les pairs ne compte plus, c’est le réseau ou le copinage qui intéresse plutôt que le professionnalisme » Ericka Weidmann19 novembre 2018 Baudoin Lebon © Christian Courrèges Partager Partager Temps de lecture estimé : 4minsLa galerie Baudoin Lebon a soufflé le mois dernier, ses 42 bougies. Lors de la 22ème édition de Paris Photo, nous avons rencontré son directeur, l’occasion pour lui, de nous présenter son solo show en hommage à Gérard Rondeau, et de revenir sur son départ forcé, orchestré par la direction Reed Exhibitions. Lorsque Baudoin Lebon a ouvert sa galerie à Paris en 1976, la capitale en comptait une centaine, aujourd’hui leur nombre a été multiplié par 100, de quoi donner le tournis… Dès le départ, la galerie a souhaité être éclectique en défendant tous les médiums. Elle était l’une des très rares galeries à montrer de la photographie et de la peinture. À l’époque, les galeries photo voyaient d’un mauvais œil le fait d’associer photographie et peinture et les galeries de peinture, quant à elles, ne trouvaient pas sérieux d’associer les deux ! <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> « La reconnaissance par les pairs ne compte plus, c’est le réseau ou le copinage qui intéressent plutôt que le professionnalisme« . Cependant, il réussit à concilier un public entre photographie, peinture et sculpture. Les premiers acheteurs de Mapplethorpe ou Witkin se révèlent être des collectionneurs de tableaux et non pas des amateurs de photographie. Comme nous le dit Baudoin : « je ne me suis jamais préoccupé de l’état du marché, ça s’est fait naturellement, parce que je défendais un ensemble d’artistes et non pas un médium précis, et que j’avais une ligne directrice sensible« . « Comme je n’étais pas actionnaire, ils m’on foutu à la porte deux ans après le rachat. C’est souvent ce qui se passe dans les fusions/acquisitions« . En 1996, Baudoin Lebon fait partie des co-fondateurs de Paris Photo avec Rik Gadella. Lorsque Reed Exhibition a racheté la foire en 2002, la direction remercie Baudoin après deux ans. Il ne fait plus partie du comité, et pire, il n’est plus le bienvenu en tant qu’exposant ! Evénement pour lequel il ne garde aucune rancœur. Après le départ en retraite du directeur de Reed, la galerie Baudoin Lebon réintègre la foire et peut enfin revenir sous la verrière du Grand Palais… « Une foire, c’est l’endroit idéal pour faire connaître un artiste ! C’est pour cela que j’aime organisé des solo show, aux côtés d’œuvres plus reconnues ou des pièces maitresses qui permettent de financer la partie « promotion ». » Baudoin Lebon a toujours aimé faire des solos show lors des foires, une direction qu’emprunte de plus en plus de galeries à Paris Photo. Pour cette édition 2018, la galerie ne déroge pas à la règle et a consacré son espace à l’œuvre de Gérard Rondeau, qui est parallèlement présenté à la galerie avec une exposition « pêle-mêle » visible jusqu’au 22 décembre prochain. La galerie avait prévu de lui consacrer une exposition quelques mois avant son décès, compte tenu des circonstances, le projet a été reporté à cette année pour lui rendre hommage. 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