Carte blanche à Freddy Coudray : La résidence de création photographique, mise en place d’un volet de production 3 avril 2024
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : « Entre Ciel et Sable, les cabines de plage des Hauts de France » par Barbara Grossmann 15 mars 2024
Art Brussels 2024 : Interview exclusif Nele Verhaeren « Si 40 ans est une étape importante dans la vie d’une personne, c’est également le cas pour Art Brussels … » 3 avril 2024
Lucile Hitier, Centre d’art contemporain l’ar[T]senal : « L’art est un vecteur de lien social et de réinsertion merveilleux qu’il faut encourager et protéger » 2 avril 2024
Partager Partager News Quand Facebook te pousse au crime Ericka Weidmann5 janvier 2017 Temps de lecture estimé : 3minsTout utilisateur de Facebook le sait, on ne publie pas ce que l’on veut sur le réseau social américain, car chacun a bien lu – dans son intégralité – les conditions d’utilisation ! Dans le paragraphe « Sécurité », on trouve notamment l’interdiction d’intimidation ou de harcèlement, l’interdiction d’utiliser Facebook à des fins illégales, malveillantes ou discriminatoires ou encore l’interdiction de publier du contenu incitant à la haine ou à la violence et enfin, ce qui nous intéresse aujourd’hui : la publication d’images « pornographiques ». Ce sont chaque jour des millions de contenus qui sont mis en ligne sur la plateforme; difficile donc pour Facebook de faire le tri pour censurer le contenu « illégal ». Ce que vous mettez en ligne (particulièrement les médias) est donc susceptible d’être dénoncé par les utilisateurs, ou encore d’être scanné par des algorithmes qui repèrent les contenus « à risque ». Mais attention, ça ne marche pas à tous les coups, et il semblerait qu’il y ait une censure à deux vitesses! Je me souviens avoir signalé un cliché montrant la fosse du Bataclan dont le sol était encore jonché de corps. La réponse ne s’est pas fait attendre, la dite photo ne semblait pas enfreindre les conditions d’utilisation… Partager de nombreuses fois, cette image n’a jamais vraiment disparu du réseau social. La photographie d’Orlan sur l’origine de la guerre a été censurée dans l’heure, alors que certaines images ou vidéos d’une rare violence mettent de nombreux jours à disparaître, voire ne le sont jamais… » Couvrez ce sein, que je ne saurais voir « . Il est peut-être arrivé que votre compte soit suspendu, ou carrément supprimé à cause de la publication de photographie de nus que Facebook considère comme pornographique. Dans mon ancienne vie, notre page Facebook a été supprimée suite à la publication d’une photographie d’Araki (publiée trois ans auparavant). Impossible de faire entendre raison au mastodonte et puritain Facebook. On se résigne, donc bye-bye à nos 21000 fans, et tout un travail de 3 ans à refaire ! Aujourd’hui, c’est un fait plutôt cocasse, frôlant le cynisme qui arrive à l’un de nos lecteurs. Il s’appelle François Delebecque, il est photographe. Comme beaucoup, il partage avec ses « amis » ses images, et cette année il a été censuré, et son compte a été bloqué à deux reprises. C’est le châtiment que vous risquez si vous publiez des photographies de femmes ou d’hommes nus. Mais attention, il y a quelques subtilités : qu’est ce qu’une photographie de nu pour Facebook? Et bien il s’agit de trois zones majeures à ne pas montrer distinctement : les tétons, le sexe et les fesses (ou du moins la raie des fesses). Vous l’avez compris, vous pouvez toujours vous en sortir avec un jeu d’ombre et de lumière, un floutage, une mosaïque de pixels ou encore le logo de Facebook pour cacher les zones interdites. Pour en revenir à François, Facebook tend à le provoquer en l’incitant à publier le contenu illicite ! En effet, avec la fonctionnalité automatique « Ce jour-là », Facebook propose à François de revoir ses souvenirs et de les partager à nouveau ! Facebook serait-il pleutre ou quelque peu taquin, puisque leurs robots ne lui propose rien d’autres que ses images « illégales » qui amènerait à une censure et à un compte bloqué, voire carrément supprimé. http://francoisdelebecque.com Favori0
News Carolle Benitah, devenue l’éternelle Il y a 5 ans tout juste, sortait l’ouvrage « Jamais je ne t’oublierai » aux éditions L’Artière. Aujourd’hui ces mots résonnent d’une façon ...
News Quelles perspectives pour les États Généraux de la Photographie ? Pour clôturer ces deux journées de restitution publique des États Généraux de la Photographie, les huit structures associatives et professionnelles organisatrices ont ...
News Les États Généraux de la Photographie : Quelle place pour l’Intelligence artificielle ? Les États Généraux de la Photographie viennent d’organiser une restitution publique autour de six thématiques. Huit structures associatives et professionnelles ont réunit ...
Carte blanche à Freddy Coudray : La résidence de création photographique, mise en place d’un volet de production 3 avril 2024
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : « Entre Ciel et Sable, les cabines de plage des Hauts de France » par Barbara Grossmann 15 mars 2024
Art Brussels 2024 : Interview exclusif Nele Verhaeren « Si 40 ans est une étape importante dans la vie d’une personne, c’est également le cas pour Art Brussels … » 3 avril 2024
Lucile Hitier, Centre d’art contemporain l’ar[T]senal : « L’art est un vecteur de lien social et de réinsertion merveilleux qu’il faut encourager et protéger » 2 avril 2024