Carte blanche à Nathalie Bocher-Lenoir : Des associations pour la reconnaissance des photographes 1 jour ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 10 mars 2025
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
« 13 fois Jackie » par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 14 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 1 jour ago
Rencontre Martine Robin, Château de Servières : La Relève 7 « notre part belle », Paréidolie 2025, synergies et soutien à l’émergence 4 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 9minsLe Prix Photo Sociale (anciennement Caritas) vient d’annoncer le nom de la lauréate 2025, le jury présidé par Jane Evelyn Atwood a récompensé la photographe Marion Gronier pour sa série « Quelque chose comme une araignée » autour de la santé mentale. Les deux finalistes de cette cinquième édition sont Céline Villegas avec une série sur les bains-douches, rituel de dignité pour ceux qui vivent dans la rue et Morgan Fache qui consacre son travail à l’habitat précaire à La Réunion. Ces travaux seront exposés au Chateau d’Eau de Toulouse en avril et à la Mairie du Xe arrondissement de Paris, fin mai. Marion Gronier, Lauréate de l‘édition 2025 « Quelque chose comme une araignée » « La manière dont nous traitons nos fous est symptomatique de la folie de notre société. » Michel Foucault, Histoire de la folie à l’âge classique © Marion Gronier. Lauréate 2025 du Prix Photo Sociale « L’institution psychiatrique est encore un lieu à part, stigmatisé et stigmatisant. Outre sa mission thérapeutique, elle a aussi pour fonction tacite d’exclure les personnes hospitalisées de nos sociétés, de les contenir dans un espace à l’abri de nos regards. De l’extérieur, elle cristallise des peurs inarticulées ; à l’intérieur, s’y manifeste de façon exacerbée les dysfonctionnements et les névroses de notre société. Prises entre ces filets, les personnes souffrant de troubles psychiques sont soumises à des traitements aberrants produit par le système institutionnel et à des regards violents, chargés de fantasmes, les nôtres. Ce travail, cherche à déconstruire le regard que nous portons sur elles, à mettre à jour les processus d’aliénation et de stigmatisation à l’oeuvre dans nos sociétés. © Marion Gronier. Lauréate 2025 du Prix Photo Sociale Pour photographier aujourd’hui en psychiatrie, il faut renoncer aux visages. Les patient·es ne doivent pas être reconnu·es, la folie est toujours une honte. Il faut donc baisser les yeux et sonder les corps, les postures, les gestes, chercher d’autres manifestations des affects. Les corps que j’ai observés sont des corps contraints, soumis à des règles et à un contrôle quasi permanent. Ils se tordent, se camouflent, se figent, s’absentent, tentant de s’extraire de ce cadre. Tandis que le regard clinique interprète ces conduites comme autant de symptômes, j’y vois d’abord des formes de réactions et de résistances à ce milieu qui les ostracise. Au-delà de ces interprétations situées, mes images, lorsqu’elles s’exposent, rencontrent les projections collectives et individuelles qui façonnent nos visions de la folie et qui saturent de signes ces corps indéchiffrables. Leurs formes, métamorphosées par nos imaginaires deviennent informes, dévoilant les impensés de nos représentations de la folie. © Marion Gronier. Lauréate 2025 du Prix Photo Sociale Pour déconstruire ces représentations, ce travail est constitué, en contrepoint à mes photographies, d’enregistrements de paroles de patient·es qui les commentent. Je tenais à ce que ces dernier·es interviennent dans ce travail, que mes images soient déchiffrées par leur regard. Ces voix ont deux fonctions : elles contrent, d’une part, le processus de déshumanisation à l’oeuvre dans la contrainte de l’anonymisation ; et d’autre part, elles font entendre des interprétations singulières qui s’immiscent dans nos imaginaires, les ouvrant à leur vécu et à leur sensibilité et, se faisant, interrogent nos propres interprétations. » Ce travail a été réalisé de 2022 à 2024 dans une unité de l’Hôpital Esquirol de Saint-Maurice (94), dans plusieurs unités du Centre Hospitalier de Montperrin à Aix-en-Provence (13), au Centre Psychiatrique de Kenia à Ziguinchor et au Centre Xeral Well de Tobor. La partie sénégalaise de ce travail a été réalisé dans le cadre d’une résidence à l’Alliance française de Ziguinchor. Elle a reçu le soutien financier de la Commission Européenne dans le cadre du projet ERC StG MaDAf « Governing Madness in West Africa » (2020-2025) Un livre paraîtra au Bec en l’air en octobre 2025 Céline Villegas, finaliste de l‘édition 2025 « Les Bains-douches (Nos Oasis) » OASIS Fig. Tout lieu, toute situation qui offre une détente, un repos, qui se présente comme une exception au milieu de ce qui est désordre, trouble, etc. © Céline Villegas. Finaliste 2025 du Prix Photo Sociale « En 2023, très touchée par la situation sociale qui se dégrade sous nos yeux, je décide d’entamer un travail photographique sur la précarité sanitaire à Paris, à travers les 18 bains-douches d’Ile de France et l’Oasis, centre d’accueil de jour pour femmes du Samu Social. Construits entre la fin du XIXe et la première moitié du XXe siècle, les bains douches ont été progressivement fermés en France avec l’essor des douches ou salles de bains individuelles mais le contexte actuel encourage les municipalités ou associations à les rouvrir comme récemment à Lyon ou Saint-Denis où les fréquentations sont en constante augmentation. © Céline Villegas. Finaliste 2025 du Prix Photo Sociale Ils s’appellent Mousse, Alvin, Pascale, Lisette, Romuald, Céliana, on les appelle “les usagers”. Ils se rendent aux bains publics en quête d’une douche chaude et d’un espace intime qu’on leur offre pour 20 minutes. Avec une fréquentation majoritairement masculine (91%), j’ai rencontré des réfugiés, des sans-abris, des jeunes en rupture sociale, des adultes en perte d’emploi ou en situation de handicap, des populations mobiles. Les femmes qui fréquentent de plus en plus ces lieux, ont souvent été victimes de violences. J’y ai aussi croisé des retraités ou des étudiants qui n’arrivent plus à payer leurs factures, des mal-logés et même des habitués qui viennent trouver du lien social et juste un peu de réconfort. © Céline Villegas. Finaliste 2025 du Prix Photo Sociale Ces établissements donnent ainsi une photographie de la société actuelle et témoignent directement de la violence de la crise sociale que nous traversons. Ils sont devenus de véritables refuges pour ces populations fragilisées, et ce, notamment grâce au travail des agents municipaux qui s’improvisent souvent dans ce métier très social ou celui du personnel d’accueil de jour de l’Oasis qui accueille chaleureusement les femmes qui fréquentent peu les bains douches très masculins. A travers ce travail en huis clos, je propose un autre regard sur la précarité, à travers ce qui nous semble le plus basique dans nos vies : se laver les mains, les dents, prendre une douche ou même aller aux toilettes. » Morgan Fache, finaliste de l‘édition 2025 « Dans l’ombre d’une île » © Morgan Fache. Finaliste 2025 du Prix Photo Sociale « Bien que le confort des logements se soit amélioré ces dernières années, une part significative des Réunionnais demeure confrontée à des conditions d’habitat précaires. Le déficit de logements a entraîné une augmentation notable des constructions précaires, atteignant 23 478 unités en 2020 (+5,9 % depuis 2014), ainsi que des bâtis indignes, estimés à 1 7 756 (+9,4 % depuis 2008). Par ailleurs, près de 31 000 ménages vivaient en situation de surpeuplement en 2020, soit 9,1 % des foyers, un taux deux fois supérieur à celui observé en métropole. Avec 319 000 personnes vivant sous le seuil de pauvreté, La Réunion subit une précarité massive, touchant environ 40 % de sa population, soit un taux deux fois plus élevé que celui de l’ensemble du territoire national. Cette crise du logement s’accompagne d’une forte hausse des loyers (+31 % en 5 ans), le loyer médian atteignant 1 7 €/m2, un niveau comparable à celui de grandes métropoles françaises comme Lyon ou Marseille. © Morgan Fache. Finaliste 2025 du Prix Photo Sociale Depuis plus d’une décennie, je m’attache à documenter les problématiques culturelles et sociales qui marquent les territoires insulaires français, profondément influencés par leur passé colonial. LIIe de La Réunion, avec ses spécificités historiques et sociales, constitue un observatoire privilégié de ces enjeux, notamment en matière de précarité et de mal-logement, qui continuent d’affecter une part significative de sa population. Mon travail vise à dévoiler les réalités complexes et souvent invisibilisées de ces territoires, où les inégalités sociales et économiques se manifestent de manière exacerbée. La série d’images que je propose s’inscrit dans cette démarche de témoignage. Elle est tirée d’un corpus plus vaste couvrant une période allant de 2012 à 2024, bien que le cadre de cette bourse limite la sélection aux trois dernières années. Cet élargissement temporel me semble indispensable pour restituer au plus juste l’évolution et la persistance des problématiques sociales et du mal-logement sur l’ile. © Morgan Fache. Finaliste 2025 du Prix Photo Sociale En retraçant plus d’une décennie de transformations — ou parfois de stagnation — cette sélection d’images met en lumière l’ampleur de la crise sociale et les défis colossaux auxquels La Réunion est confrontée. L’accès à un logement digne, la lutte contre les inégalités et l’instabilité sociale illustrent un état d’urgence qui mérite une attention immédiate. Il est essentiel que ces territoires insulaires, souvent relégués à la périphérie des discours et politiques nationales, soient intégrés pleinement dans la réflexion sur les inégalités et les droits fondamentaux. » INFORMATIONS PRATIQUES Le Château d’Eau - Pôle photographique de Toulouse58 allée Charles Laffite 31300 Toulouse (Adresse pendant les travaux) ̶1̶,̶ ̶P̶l̶a̶c̶e̶ ̶L̶a̶g̶a̶n̶n̶e̶ ven04avr(avr 4)13 h 00 mindim18mai(mai 18)19 h 00 minPrix Photo Sociale 2025Le Château d’Eau - Pôle photographique de Toulouse, 58 allée Charles Laffite 31300 Toulouse (Adresse pendant les travaux) ̶1̶,̶ ̶P̶l̶a̶c̶e̶ ̶L̶a̶g̶a̶n̶n̶e̶ Détail de l'événementEn France, la pauvreté n’est pas une abstraction chiffrée : elle touche neuf millions de personnes, dont deux millions se trouvent dans l’extrême dénuement, et plus de 300 000 vivent Détail de l'événement En France, la pauvreté n’est pas une abstraction chiffrée : elle touche neuf millions de personnes, dont deux millions se trouvent dans l’extrême dénuement, et plus de 300 000 vivent à la rue. Derrière ces statistiques, se dessine un visage humain, fragile, souvent ignoré. Il est essentiel, face à l’indifférence née de l’habitude, de raviver les consciences, de donner corps et voix à ceux que l’on croise sans voir. C’est là toute l’ambition du Prix Photo Sociale : inviter chacun à plonger au coeur des réalités de la vulnérabilité, à s’arrêter sur des fragments d’existence que la société éclipse. Cette rencontre entre la photographie et l’engagement solidaire révèle la puissance d’une image : celle qui éveille, questionne, dérange parfois, pour mieux toucher. Le Prix s’attache ainsi à soutenir et à faire rayonner le travail de photographes qui, avec grande sensibilité, explorent les territoires fragiles de l’humanité. Pour l’édition 2025, le jury a choisi comme lauréate Marion Gronier, dont la série photographique incarne avec justesse l’esprit du Prix. S’aventurer dans l’univers labyrinthique de la santé mentale, là où l’irrationnel côtoie l’invisible, est un défi d’équilibriste. Respecter la dignité des personnes, garder la neutralité sans effacer l’émotion : tel est le pari qu’elle relève avec une délicatesse bouleversante. Son immersion, au long cours, au sein des institutions qui – paradoxalement mais inévitablement – participent à l’invisibilisation des êtres qu’elles abritent, révèle ce que nos regards détournent. Deux finalistes viennent enrichir cette sélection. Céline Villegas signe une série sur les bains-douches, ces havres éphémères où l’hygiène devient un rituel de dignité pour ceux que la rue écorche. Ses clichés, d’une grande douceur, rendent hommage à ces lieux où l’intimité est à préserver avec la plus grande délicatesse. De son côté, Morgan Fache consacre son travail à l’habitat précaire à La Réunion, explorant des conditions de vie difficiles avec une approche intime et respectueuse. Cette cinquième édition du Prix a eu l’honneur d’être présidée par Jane Evelyn Atwood, dont le parcours est jalonné d’oeuvres consacrées à la vulnérabilité humaine. Son regard affûté et sensible a enrichi les délibérations du jury. Un immense merci à l’ensemble des jurés, venus du monde de la photographie et de la solidarité, pour leur engagement bienveillant et leur discernement. Nous espérons que nombreux seront ceux qui viendront découvrir ces oeuvres lors des expositions à Toulouse (Galerie Le Château d’Eau), puis à Paris (Mairie du 10ᵉ arrondissement), ou à travers les échos portés par les médias. Emmanuel Fagnou, Président de L’oeil sensible Dates4 Avril 2025 13 h 00 min - 18 Mai 2025 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuLe Château d’Eau - Pôle photographique de Toulouse58 allée Charles Laffite 31300 Toulouse (Adresse pendant les travaux) ̶1̶,̶ ̶P̶l̶a̶c̶e̶ ̶L̶a̶g̶a̶n̶n̶e̶Other Events Le Château d’Eau - Pôle photographique de Toulouse Get Directions CalendrierGoogleCal Mairie du 10ème arrondissement72, rue du Faubourg Saint-Martin, 75010 Paris mer28mai(mai 28)8 h 30 minsam05jul(jul 5)17 h 00 minPrix Photo Sociale 2025Mairie du 10ème arrondissement, 72, rue du Faubourg Saint-Martin, 75010 Paris Détail de l'événementEn France, la pauvreté n’est pas une abstraction chiffrée : elle touche neuf millions de personnes, dont deux millions se trouvent dans l’extrême dénuement, et plus de 300 000 vivent Détail de l'événement En France, la pauvreté n’est pas une abstraction chiffrée : elle touche neuf millions de personnes, dont deux millions se trouvent dans l’extrême dénuement, et plus de 300 000 vivent à la rue. Derrière ces statistiques, se dessine un visage humain, fragile, souvent ignoré. Il est essentiel, face à l’indifférence née de l’habitude, de raviver les consciences, de donner corps et voix à ceux que l’on croise sans voir. C’est là toute l’ambition du Prix Photo Sociale : inviter chacun à plonger au coeur des réalités de la vulnérabilité, à s’arrêter sur des fragments d’existence que la société éclipse. Cette rencontre entre la photographie et l’engagement solidaire révèle la puissance d’une image : celle qui éveille, questionne, dérange parfois, pour mieux toucher. Le Prix s’attache ainsi à soutenir et à faire rayonner le travail de photographes qui, avec grande sensibilité, explorent les territoires fragiles de l’humanité. Pour l’édition 2025, le jury a choisi comme lauréate Marion Gronier, dont la série photographique incarne avec justesse l’esprit du Prix. S’aventurer dans l’univers labyrinthique de la santé mentale, là où l’irrationnel côtoie l’invisible, est un défi d’équilibriste. Respecter la dignité des personnes, garder la neutralité sans effacer l’émotion : tel est le pari qu’elle relève avec une délicatesse bouleversante. Son immersion, au long cours, au sein des institutions qui – paradoxalement mais inévitablement – participent à l’invisibilisation des êtres qu’elles abritent, révèle ce que nos regards détournent. Deux finalistes viennent enrichir cette sélection. Céline Villegas signe une série sur les bains-douches, ces havres éphémères où l’hygiène devient un rituel de dignité pour ceux que la rue écorche. Ses clichés, d’une grande douceur, rendent hommage à ces lieux où l’intimité est à préserver avec la plus grande délicatesse. De son côté, Morgan Fache consacre son travail à l’habitat précaire à La Réunion, explorant des conditions de vie difficiles avec une approche intime et respectueuse. Cette cinquième édition du Prix a eu l’honneur d’être présidée par Jane Evelyn Atwood, dont le parcours est jalonné d’oeuvres consacrées à la vulnérabilité humaine. Son regard affûté et sensible a enrichi les délibérations du jury. Un immense merci à l’ensemble des jurés, venus du monde de la photographie et de la solidarité, pour leur engagement bienveillant et leur discernement. Nous espérons que nombreux seront ceux qui viendront découvrir ces oeuvres lors des expositions à Toulouse (Galerie Le Château d’Eau), puis à Paris (Mairie du 10ᵉ arrondissement), ou à travers les échos portés par les médias. Emmanuel Fagnou, Président de L’oeil sensible Dates28 Mai 2025 8 h 30 min - 5 Juillet 2025 17 h 00 min(GMT-11:00) LieuMairie du 10ème arrondissement72, rue du Faubourg Saint-Martin, 75010 ParisOther Events Get Directions CalendrierGoogleCal À LIRE Anaïs Oudart, lauréate du Prix Caritas photo sociale 2023 Cyril Zannettacci, photographe de l’agence VU’ remporte le Prix Caritas Photo Sociale 2022 Victorine Alisse et JS Saia, Lauréats du second Prix Caritas Photo Sociale Aglaé Bory, première lauréate du Prix Caritas Photo Sociale Marque-page0
Photo Masterclass Oeildeep : Les Auto-portraits de Frédéric Fornini Cette semaine nous poursuivons la restitution de la Masterclass Oeildeep qui s’est achevée en décembre 2024 sous l’égide de Raphaële Bertho, Bruno ...
L'Edition Ici et Ailleurs de LiLiRoze par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) Tout au long du mois de mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous partagerons avec vous une ...
Actu Art Contemporain « Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce Si les yeux sont le reflet de l’âme, ce récit polyphonique des corps et des esprits, imaginé par Emma Lavigne d’une grande ...
Carte blanche à Nathalie Bocher-Lenoir : Des associations pour la reconnaissance des photographes 1 jour ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 10 mars 2025
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
« 13 fois Jackie » par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 14 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 1 jour ago
Rencontre Martine Robin, Château de Servières : La Relève 7 « notre part belle », Paréidolie 2025, synergies et soutien à l’émergence 4 jours ago