Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des images qui se rencontrent… et qui se jouent de nous 2 jours ago
Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier 3 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 5 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Jérémy Appert, Second Lauréat du Prix du Jury de la Jeune Création photographique 26 novembre 2025
Entretien avec Annabelle Lacour, Responsable des collections photographiques du musée du Quai Branly et commissaire de l’exposition « Hoda Afshar Perfomer l’invisible » 25 novembre 2025
« Ombre est lumière. Mémoire des lieux » le manifeste de Nicolas Daubanes au Panthéon : Rencontre 1 jour ago
Saison transatlantique au Palais de Tokyo : « ECHO DELAY REVERB : Art américain, pensées francophones » 2 jours ago
Partager Partager EvénementsL'InterviewPhoto Rencontre avec Marzio Emilio Villa autour de son exposition « La Marée de la mémoire » Ericka Weidmann16 octobre 2019 Jusqu’au 27 octobre, l’espace photographique du Leica Store de Paris présente l’exposition « La Marée de la mémoire », du photographe italien d’origine brésilienne Marzio Emilio Villa. Cette série introspective vient déterrer les souvenirs du réel et de l’imaginaire autour de l’histoire personnelle du photographe sur son adoption. Entre reportage et documentaire fiction, Marzio Emilio Villa partage avec douceur et sensibilité sa recherche identitaire. Notre critique Pascal Therme a rencontré le photographe. <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> La « Marée de la mémoire » a été réalisée sur une période de quatre ans. Marzio Emilio Villa a souhaité revenir sur son histoire, celle de son adoption. Il met en parallèle trois territoires : La France tout d’abord, où il vit, l’Italie, le pays qui l’a vu grandir auprès de ses parents adoptifs et le Brésil, son pays de naissance. En Italie, il retrace ses liens familiaux et ses souvenirs d’enfance; au Brésil, il a dû imaginer les souvenirs de ses parents, puisque sa mémoire brumeuse ne lui restitue aucune trace de ces trois mois de vie passés dans son pays d’origine. « Je suis spectateur de ma vie. J’ai commencé à photographier ma famille, puisque je n’ai aucun souvenir de ma vie avant l’adoption. Je me suis donc toujours un peu spectateur et faire ce travail m’a beaucoup aidé. Et voir sa vie ainsi sur un mur, c’est émouvant… » Marzio Emilio Villa a étudié l’art contemporain à l’Accademia de Brera de Milan. Il a toujours été plus proche de la peinture que de la photographie, mais s’il a choisi ce médium pour réaliser ses projets, c’est qu’il était important de créer à partir du réel. Habituellement traité en noir et blanc, ce sujet prend vie en couleur, bien que désaturée, pour toucher au plus près la vision de ses souvenirs… L’exposition se termine avec un portrait de son frère et son enfant. Cette image opère la liaison avec son futur travail photographique. Ils ont tous deux été adoptés par leur famille, alors que Marzio avait 3 mois, et son frère 5 ans. Deux âges qui ont engendré des différences d’approche de leur l’adoption. Marzio souhaite avoir des enfants, mais il souhaite adopter pour continuer cette histoire, à l’inverse son frère ne souhaite pas adopter. C’est ainsi que le photographe a décidé de poursuivre ce travail, après avoir exploré ses racines et son identité, et révélé celles de son frère. « La Marée de la mémoire » avait été présentée cette année dans le cadre du festival Voies Off, et c’est la première fois que cette série est exposée à Paris. https://www.marzioemiliovilla.com INFOS PRATIQUES : Espace Photographique du Leica Store105 - 109 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris jeu19sep(sep 19)10 h 00 minsam02nov(nov 2)19 h 00 minLa Marée de la MémoireMarzio Emilio VillaEspace Photographique du Leica Store, 105 - 109 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris Détail de l'événementMarzio Emilio Villa jeune photographe italien, est retourné sur les traces de son adoption au Brésil pendant 4 ans. Le travail exposé à Arles au festival Voies OFF 2019 est Détail de l'événement Marzio Emilio Villa jeune photographe italien, est retourné sur les traces de son adoption au Brésil pendant 4 ans. Le travail exposé à Arles au festival Voies OFF 2019 est montré pour la première fois à Paris. Ce voyage photographique entre le Brésil et l’Italie est une exploration géographique et humaine dans les brumes de la mémoire. La série construite autour du paysage et du portrait, constitue une fresque picturale tout en clair-obscur, empreinte de mélancolie. Marzio Emilio Villa a étudié aux Beaux-Arts de Milan. Il est membre d’Hans Lucas Studio depuis 2017 et est représenté par Myriam Bouagal Galerie (Paris) et Heillandi Gallery (Lugano). Il vit aujourd’hui à Paris. Dates19 Septembre 2019 10 h 00 min - 2 Novembre 2019 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuEspace Photographique du Leica Store105 - 109 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 ParisOther Events Espace Photographique du Leica Store105 - 109 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 ParisOuvert du lundi au samedi de 10h à 19h et le dimanche de 10h à 13h et de 14h à 17h30 Espace Photographique du Leica Store Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page0
Podcast VOUS AVEZ 2 MINUTES ? Clément Chapillon EP. 06 9 Lives magazine est heureux de s’associer, en tant que partenaire média, au podcast VOUS AVEZ 2 MINUTES ?, initié par Brigitte ...
Photo The Ancient Depths, plongée dystopique en IA avec Nika Sandler Cette semaine, nous avons choisi de partager avec vous la série The Ancient Depths de l’artiste visuelle protéiforme russe Nika Sandler. En ...
News Que fait vraiment une photographie en tant qu’œuvre d’art ? Notes pour une définition provisoire On répète souvent qu’il n’existe pas de définition absolue de l’art, que tout est affaire de goût, ...
Evénements PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art »
Evénements Entretien avec Annabelle Lacour, Responsable des collections photographiques du musée du Quai Branly et commissaire de l’exposition « Hoda Afshar Perfomer l’invisible »
Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des images qui se rencontrent… et qui se jouent de nous 2 jours ago
Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier 3 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 5 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Jérémy Appert, Second Lauréat du Prix du Jury de la Jeune Création photographique 26 novembre 2025
Entretien avec Annabelle Lacour, Responsable des collections photographiques du musée du Quai Branly et commissaire de l’exposition « Hoda Afshar Perfomer l’invisible » 25 novembre 2025
« Ombre est lumière. Mémoire des lieux » le manifeste de Nicolas Daubanes au Panthéon : Rencontre 1 jour ago
Saison transatlantique au Palais de Tokyo : « ECHO DELAY REVERB : Art américain, pensées francophones » 2 jours ago