Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des images qui se rencontrent… et qui se jouent de nous 4 jours ago
Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier 5 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 7 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Jérémy Appert, Second Lauréat du Prix du Jury de la Jeune Création photographique 26 novembre 2025
Entretien avec Annabelle Lacour, Responsable des collections photographiques du musée du Quai Branly et commissaire de l’exposition « Hoda Afshar Perfomer l’invisible » 25 novembre 2025
« Ombre est lumière. Mémoire des lieux » le manifeste de Nicolas Daubanes au Panthéon : Rencontre 3 jours ago
Saison transatlantique au Palais de Tokyo : « ECHO DELAY REVERB : Art américain, pensées francophones » 4 jours ago
Partager Partager L'InterviewPhoto Théo et Maud à la Fisheye Gallery La Rédaction20 décembre 2016 Le magazine Fisheye a inauguré sa galerie en octobre dernier, aujourd’hui la seconde exposition à occuper le lieu s’intitule « A Nu », elle présente le travail du duo de photographes Théo Gosselin et Maud Chalard. Nous avons rencontré Jessica Lamacque, directrice de la galerie pour nous parler de ce jeune projet et cette nouvelle programmation. 9 lives : La galerie Fisheye est ouverte depuis 2 mois, comment s’est déroulé son lancement, quels sont les retours de la part du public et des professionnels ? Jessica Lamacque : Notre première exposition présentait le travail de Philippe Grollier sur les Bonfires en Irlande du nord, des installations monumentales faites de palettes de bois et érigées dans les quartiers catholiques des villes. Nous étions très heureux de lancer la galerie avec ce travail exigeant. Le vernissage a été un beau succès. Je crois que l’ambiance de ce premier vernissage reflète ce que nous cherchons à créer avec la galerie : rassembler le public, les photographes, les collectionneurs et les acteurs du monde de la photo. Dans une ambiance festive, ce sont tous ces passionnés de photo qui se sont retrouvés. Beaucoup d’entre eux connaissent bien notre magazine et nous accompagnent avec enthousiasme dans cette nouvelle aventure. Une communauté s’est créée autour de Fisheye et s’est avec entrain que nous allons partager avec eux notre travail à la galerie. Le lieu séduit par son originalité. Á l’image de Fisheye, notre galerie n’est pas un temple de la photographie inaccessible, mais un lieu d’échange entre fervents amoureux de la photographie. Avec une vision de la photographie contemporaine que nous bâtissons depuis maintenant plus de trois ans. M : Comment se positionne la galerie dans le paysage culturel parisien ? J. L . : Nous soutenons les auteurs de la photographie contemporaine. Avec des expositions collectives de jeunes talents réalisées en partenariat avec Picto Foundation et des expositions individuelles qui viennent explorer tout azimut la photographie contemporaine. Que ce soit dans une démarche hédoniste et spontanée comme avec les photographes Théo Gosselin et Maud Chalard ou plus documentaire avec Philippe Grollier, la Fisheye Gallery défend les auteurs en ne s’interdisant aucun genre photographique. Nous avons à cœur de faire de la galerie un lieu de rencontre entre photographes et collectionneurs. Tous nos tirages sont proposés à 5 exemplaires signés et numérotés, tous formats confondus. Que ce soit un tirage à 500€ ou à 2000€, la numérotation ne change pas. Même si la photographie s’est désormais installée dans le monde des galeries, il est important de donner des repères forts. Notre positionnement prix est lui aussi significatif. Nous proposons des tirages à 500€ pour nos expositions collectives et pour certaines expositions des petits formats à 100€. Ces œuvres séduisent tous types de collectionneurs, certains achètent pour la première fois, d’autres sont heureux d’acquérir des artistes qui exposent parfois pour la première fois en galerie. Pour les expositions individuelles, nous cherchons à surprendre le public avec des formats et des encadrements originaux. Les prix peuvent alors se situer entre 800€ et 12 000€, (le prix de l’assemblage de 12 photographies de Bonfires créé pour l’exposition de Philippe Grollier). Nous accordons aussi une attention particulière à proposer nos œuvres en ligne sur le site internet de la galerie pour être accessible à un public non parisien. Notre travail avec les photographes s’inscrit dans le long terme car nous représentons certains des artistes qui exposent à la galerie. Et nous les amenons par exemple à participer à des foires et à intégrer les collections muséales. M : La nouvelle exposition « A Nu » est consacrée au travail de Theo et Maud, pouvez-vous nous expliquer votre choix ? J. L . : Théo Gosselin a réalisé la première couverture du magazine Fisheye, nous suivons son travail et celui de Maud depuis plusieurs années. Et c’est avec toujours autant de plaisir que nous voyons comment ils font rêver les gens avec leurs voyages et leur désir de liberté. Le succès qu’ils connaissent n’a jamais entamé la spontanéité de leur démarche. Leurs images reflètent un style de vie, mais il fallait leur talent pour qu’au fil des années leurs photographies restent toujours aussi sincères et emplis de superbes moments d’intimité. Nous présentons pour la première fois des œuvres uniquement signées de Maud Chalard mais aussi des photographies en noir et blanc de Maud et Théo et une édition de petits formats. M : Y a t-il des ponts et des transversalité entre la galerie et le magazine ? Comment cela s’organise t-il ? J. L . : Il n’y a pas de lien direct entre publication dans le magazine et exposition en galerie car il s’agit de deux démarches profondément différentes. Mais évidemment, depuis le lancement du magazine, nous avons eu la joie de nous entourer de photographes que nous admirons et que nous allons naturellement les retrouver à la galerie. Et il est aussi très important pour nous que les lecteurs de Fisheye se sentent chez eux à la galerie ! M : Noël approche bientôt, auriez-vous une œuvre en particulier à conseiller à nos lecteurs ? J. L . : La série de petits formats 15cm x 20cm signés Théo Gosselin et Maud Chalard me paraît un cadeau idéal ! Dans l’esprit des tirages de lectures que les photographes attachés à l’argentique ont l’habitude de manipuler, ces œuvres sont proposées à 100€ et sont disponibles à la galerie jusqu’au 24 décembre. Tous les tirages sont en vente et présentés sur notre site. INFORMATIONS A Nu Theo & Maud Du 9 décembre 2016 au 14 janvier 2017 Fisheye Gallery 2, rue de l’Hôpital-Saint-Louis 75010 Paris http://www.fisheyegallery.fr Marque-page0
Photo The Ancient Depths, plongée dystopique en IA avec Nika Sandler Cette semaine, nous avons choisi de partager avec vous la série The Ancient Depths de l’artiste visuelle protéiforme russe Nika Sandler. En ...
News Que fait vraiment une photographie en tant qu’œuvre d’art ? Notes pour une définition provisoire On répète souvent qu’il n’existe pas de définition absolue de l’art, que tout est affaire de goût, ...
Interview Art Contemporain « Ombre est lumière. Mémoire des lieux » le manifeste de Nicolas Daubanes au Panthéon : Rencontre C’est une histoire de surgissent et de sidération, de monumentalité et de miniaturisation, d’éternité et de transitoire, de fixité et de déplacement. ...
Evénements PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art »
L'Interview Planches Contact Festival : Interview Jérémy Appert, Second Lauréat du Prix du Jury de la Jeune Création photographique
Evénements Entretien avec Annabelle Lacour, Responsable des collections photographiques du musée du Quai Branly et commissaire de l’exposition « Hoda Afshar Perfomer l’invisible »
Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des images qui se rencontrent… et qui se jouent de nous 4 jours ago
Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier 5 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 7 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Jérémy Appert, Second Lauréat du Prix du Jury de la Jeune Création photographique 26 novembre 2025
Entretien avec Annabelle Lacour, Responsable des collections photographiques du musée du Quai Branly et commissaire de l’exposition « Hoda Afshar Perfomer l’invisible » 25 novembre 2025
« Ombre est lumière. Mémoire des lieux » le manifeste de Nicolas Daubanes au Panthéon : Rencontre 3 jours ago
Saison transatlantique au Palais de Tokyo : « ECHO DELAY REVERB : Art américain, pensées francophones » 4 jours ago