Carte Blanche à Rima Abdul Malak : Jean-François Spricigo, le portrait comme présence 16 octobre 2025
Le photographe turc Huseyin Ovayolu, lauréat de la 1ère édition du Prix Bergger de la photographie analogique 3 heures ago
La semaine de l’art à Paris : Art Basel Paris, OFFSCREEN, Paris Internationale, ASIA NOW, AKAA… 17 octobre 2025
Photo Gérard Rancinan, dans l’enfer des dieux Pascal Therme10 mai 2018 Gérard Rancinan, portrait de Suboth Gupta, Inde. Partager Partager A regarder cette scène où l’artiste assis, figure en son centre, l’œil pénètre le léger rideau de brume, fumée (?) et perçoit le buste de Shiva semblant terrasser un guerrier à genoux, tout à côté d’un corps de femme nue, chair ou pierre, et que l’immense crâne se montre a moitié terrifiant. L’indien à vélo sur le fond droit semble fixer intensément la caméra, mi-interrogatif, mi-irrité, tandis que le regard, ayant fait le tour du propriétaire revient au centre de l’image, se poser sur le visage de Suboth Gupta, à l’écharpe rouge, assis devant une tête de boeuf qui regarde également fixement la caméra. Que de regards en un seul, que de fuites et de narrations possibles, au sein d’une même photographie, fixée par le regard fixe de l’artiste. Le message en est sans doute que le monde tourne à cent à l’heure, comme ce ventilateur, qui répond d’ailleurs par sa forme à la circonférence de la roue de la bicyclette et que, mille et une choses entrent en même temps dans la réalité pour en dire la multiplicité énergétique. L’interrogation ici domine et laisse en suspens toute certitude, où sommes-nous vraiment, rue intérieure, fausse rue, atelier, ruine, palais, musée, que font les deux personnages, au fond à gauche en léger rose est-ce Ganesha, le dieu de la chance, avec sa trompe (?) ou un élément de décor…? Mais c’est précisément dans cette interrogation que se profile une perte des repères; une interrogation sur la Vie et la Mort, sur l’homme, prend forme à travers le regard de Suboth, dans le lien avec celui qui le photographie et qui le voit. Scène en cours de réalisation, ce portrait aléatoire me semble d’une grande involonté et d’un certain lâcher-prise, parce que tout ce qui circule dans l’image, formes, cercles , énergies, contribue au mystère de la vie prise en chasse par celui de la photographie…. et du portrait, quand celui-ci ouvre une porte à l’improviste et voit, en un éclair, les cent autres possibilités de faire, et que tout rentre à l’intérieur de la boite, comme le génie dans la lampe. Rancinan, Aladin, le génie, quoi de moins surprenant…. Gérard Rancinan, dans l’enfer des dieux Pascal Therme le 30/04/18 https://rancinan.com/official/photos.php?id=1 http://www.rancinan.com/official/home1.php https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Rancinan http://www.lemondedelaphoto.com/Record-de-vente-pour-une,9660.html Marque-page0
L'Interview Exposition entre mémoire et réparation. Rencontre avec Andréa Vamos et Anna Milone À partir de ce week-end, la photographe Andréa Vamos explore la mémoire des monuments commémoratifs dans son exposition « Spomenik, mon cœur ...
News Le photographe turc Huseyin Ovayolu, lauréat de la 1ère édition du Prix Bergger de la photographie analogique Le nom du lauréat de la toute première édition du Prix Bergger de la photographie analogique noir et blanc vient d’être dévoilé. ...
Photo Masterclass Oeildeep : Considerare, exploration d’un territoire par Thomas Rothé Cette semaine, nous poursuivons la restitution de la Masterclass Œildeep dirigée par Laurence Cornet, Denis Darzacq et Jean-Christian Bourcart. Aujourd’hui, nous vous ...
Carte Blanche à Rima Abdul Malak : Jean-François Spricigo, le portrait comme présence 16 octobre 2025
Le photographe turc Huseyin Ovayolu, lauréat de la 1ère édition du Prix Bergger de la photographie analogique 3 heures ago
La semaine de l’art à Paris : Art Basel Paris, OFFSCREEN, Paris Internationale, ASIA NOW, AKAA… 17 octobre 2025
Le photographe turc Huseyin Ovayolu, lauréat de la 1ère édition du Prix Bergger de la photographie analogique