Des actes de vandalisme de plus en plus nombreux sur le territoire. Une exposition en mémoire de la Résistance détruite ! 3 jours ago
Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle 3 jours ago
Photo London 2025, Interview Sophie Parker, directrice : « Une édition emblématique pour célébrer les 10 ans de Photo London ! » 6 jours ago
L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique 13 mai 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 30 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 7 et fin) 7 mai 2025
Masterclass Oeildeep : « L’appel de l’horizon », un renouveau immortalisé par Rebecca Rubcke 2 mai 2025
Saison Brésil-France 2025 x Carré d’Art de Nîmes, Interview Jean-Marc Prévost : « Un musée devenu prescripteur que j’ai voulu ouvrir à d’autres parties du monde » 17 heures ago
Paris Gallery WE : Interview Marina Schiptjenko, Andréhn-Schiptjenko Gallery (Stockholm/Paris) 2 jours ago
Numa Hambursin, MO.CO. Saison art & science, Françoise Pétrovitch et Jean-Marie Appriou (à venir) 7 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 5minsUn vent de folie souffle sur la capitale et le Comité des galeries en association avec le Centre Pompidou propose une quarantaine de déclinaisons surréalistes dans les quartiers emblématiques du mouvement. Les librairies sont de la fête. Dans le Marais et à St Germain, Anne-Sarah Benichou propose une exposition collective d’œuvres historiques avec des artistes de la galerie, Christophe Gaillard dans le cadre des expositions dédiées à Daniel Cordier propose une sélection d’œuvres sur papier de Jean-Pierre Duprey, Alberta Pane se penche sur Claude Cahun et sa compagne Marcel Moore, Jocelyn Wolff à partir de la bibliothèque de Suzanne Collinet , première femme de André Breton explore le versant littéraire du mouvement, Semiose propose une version contemporaine avec le collectif potache Présence Panchounette et sa logique du pire. Claude Cahun, Autoportrait aux orchidées, 1939, tirage gélatino-argentique en noir et blanc sur papier Velox, 10,2 x 7,8 cm. L’artiste belge Rinus Van de Velde (galerie Max Hetzler) rentre parfaitement dans la catégorie surréaliste avec son univers décalé, son travelling mental entre les grandes figures tutélaires de la peinture et son avatar ermite qui part à bord de trains en carton-pâte dans des errances absurdes avec le film « A life in a day ». J’avais découvert l’artiste lors de l’exposition proposée à Bruxelles Bozar qui donnait une porte d’entrée dans cet univers inclassable. https://www.maxhetzler.com/exhibitions/rinus-van-de-velde-2024 Vue de l’exposition Failures Marty de Montereau x Galerie Filles du Calvaire photo Nicolas Brasseur « My loneliness is killing me » Marty de Montereau signe FAILURES à la galerie des Filles du Calvaire autour du narcissisme contemporain, de nos pulsions scopiques et de l’envers du miroir à partir du parcours de Britney Spears très vite dépassée par le succès, ses années de lutte pour retrouver son libre arbitre, sa dépendance à la drogue… Dans son sillage les artistes convoqués par le collectionneur et commissaire disent quelque chose d’une génération dans des décors kitsch et girly où le fantôme d’Alice se glisse. Ne pas manquer le cabinet érotique en sous-sol avec les dessins webcam de Thomas Lévy-Lasne. https://www.fillesducalvaire.com/exhibitions/163/overview/ Trash est Andrea Fraser (galerie Marian Goodman) que l’on voit ayant un rapport sexuel avec un collectionneur dans la célèbre installation Untitled 2003, autour de ce que veut dire vendre une partie intime de soi, de ses fantasmes, la valeur marchande et les relations d’échange. Le plan fixe dure 60 mns et fait du spectateur un voyeur dans une forme de participation orchestrée d’un tout petit moniteur perdu dans une grande salle d’une galerie commerciale. L’artiste ne cesse d’explorer les intersections émotionnelles et financières dans le monde de l’art, la subjectivité et le désir selon une perspective féministe. Dans la partie librairie de Marion Goodman la photographe polonaise Joanna Piotrowska qui a été exposée au BAL dans une scénographie conçue pour l’occasion d’un rêve éveillé où des objets, des fragments de corps jouent une partition ambiguë. Les réminiscences, les souvenirs remontent à la surface. https://www.mariangoodman.com/exhibitions/paris/ Emilie Pitoiset, Clone, 2023, Fourrure, perruque, 78 x 43 x 15 cm courtesy l’artiste, Klemm’s Berlin photo Adèle Onnillon Maty Biayenda (Double V) Entre icônes transgenre de la nuit parisienne et communautés du voguing ball du New York des années 1980 l’artiste a constitué une archive visuelle autour de la notion d’identité transgenre et afro-descendante. Toute une communauté, une famille qui est aussi le portrait d’une génération de jeunes femmes racisées à partir de l’usage d’une palette poudrée, dorée, bleutée qui renvoie à la notion de colorisme un dérivé du racisme basé sur le ton de la couleur de peau. Euridice Zaituna Kala (Anne Barrault) A partir de sa résidence à la Villa Albertine de New York, l’artiste déroule un récit autour de la verticalité de la ville et de l’architecture comme forme d’oppression et de négation du corps. Les sculptures en verre font écho aux gratte-ciels, le paysage jouant des miroitements de l’eau et des transparences. Park Chae Biole (galerie Anne-Laure Buffard) Les safe spaces apparus aux Etats Unis dans les années 1960 à l’initiative de communautés marginalisées et mouvements féministes face à l’exclusion sociale. Park Chae Biole pense l’espace et les œuvres comme une façon de nous protéger. Avec l’installation Playground il y a la notion d’aires de jeu pour enfants et cette tente/cabane qui reproduit l’intérieur d’une maison. Une métaphore agissante. Park Chae Biole, Rue des jardins, 2024 courtesy de l’artiste et de la Galerie Anne-Laure Buffard © Wonwoo Kim https://annelaurebuffard.com/exhibitions/ Ranti Bam « How do we hold our stories ?” Première exposition de l’artiste britannico-nigériane Ranti Bam (Andrehn-Schiptjenko) autour de ses sculptures en argile et engobes pigmentés qu’elle relie au soin, au ressourcement collectif à de multiples strates de signification. INFOS PRATIQUES : https://www.parisgallerymap.com Marque-page0
Interview Art Contemporain Saison Brésil-France 2025 x Carré d’Art de Nîmes, Interview Jean-Marc Prévost : « Un musée devenu prescripteur que j’ai voulu ouvrir à d’autres parties du monde » Jean-Marc Prévost signe sa dernière exposition pour le Carré d’Art dans un engagement ininterrompu autour de monographie d’artistes internationaux avec Lucas Arruda ...
Interview Art Contemporain Paris Gallery WE : Interview Marina Schiptjenko, Andréhn-Schiptjenko Gallery (Stockholm/Paris) Co-fondatrice et directrice avec Ciléne Andréhn de la galerie suédoise établie à Paris Andréhn-Schiptjenko, je retrouve Marina Schiptjenko à l’occasion d’Art Brussels ...
L'Interview Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle L’IA innerve de façon croissante nos usages quotidiens, tout en bouleversant les fondements mêmes de notre culture visuelle. Le Jeu de Paume ...
Actu Art Contemporain Pierrette Bloch au Musée d’art moderne et contemporain, Saint-Etienne. Art du silence et de l’enchevêtrement
Actu Art Contemporain Artemisia, affirmation de soi et héroïnes caravagesques au musée Jacquemart-André
Actu Art Contemporain Fondation groupe EDF, Marseille/Paris « Ames vertes », « Ce que l’horizon promet »
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Des actes de vandalisme de plus en plus nombreux sur le territoire. Une exposition en mémoire de la Résistance détruite ! 3 jours ago
Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle 3 jours ago
Photo London 2025, Interview Sophie Parker, directrice : « Une édition emblématique pour célébrer les 10 ans de Photo London ! » 6 jours ago
L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique 13 mai 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 30 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 7 et fin) 7 mai 2025
Masterclass Oeildeep : « L’appel de l’horizon », un renouveau immortalisé par Rebecca Rubcke 2 mai 2025
Saison Brésil-France 2025 x Carré d’Art de Nîmes, Interview Jean-Marc Prévost : « Un musée devenu prescripteur que j’ai voulu ouvrir à d’autres parties du monde » 17 heures ago
Paris Gallery WE : Interview Marina Schiptjenko, Andréhn-Schiptjenko Gallery (Stockholm/Paris) 2 jours ago
Numa Hambursin, MO.CO. Saison art & science, Françoise Pétrovitch et Jean-Marie Appriou (à venir) 7 jours ago