Carte blanche à The Analog Club : Rencontre avec Florian Guillon-Antigny, artisan des procédés alternatifs en argentique 2 jours ago
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 20 heures ago
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 11 avril 2025
Partager Partager Actu Art ContemporainOtherSide Les chaos et soubresauts de l’histoire dans l’essoreuse de Neil Beloufa au Palais de Tokyo Marie-Elisabeth De La Fresnaye28 mars 2018 Temps de lecture estimé : 3minsAprès avoir traversé les vestiges brûlés d’Anita Molinero, affronté la peur avec Kader Attia et Jean-Jacques Lebel, place à la duplicité de l’histoire avec Neil Beloufa et son impressionnant palimpseste de carton pâte sur 2000m² ! « La Discorde est mère de nombreux enfants qui ont pour noms Désastre, Mensonge, Douleur, Oubli, Faim, Carnage. »Jean de Loisy Courbet en prologue pour nous rappeler que le destin d’un artiste peut avoir une double face, d’un côté le révolutionnaire contraint à l’exil en Suisse et de l’autre les goûts d’une clientèle bourgeoise satisfaits dans ses toiles. Il aurait pu aussi choisir le peintre David entre autres. Tout est placé sous le signe de l’ interchangeable. Cette porosité du discours officiel est illustrée par l’extrême fragmentation et fragilité des matériaux choisis. Un esthétique pauvre, faite de bouts de scotch et de collages à l’image du flux tentaculaire d’informations qui nous entourent. Propagande manichéenne, images de domination à toutes les époques sur tous les continents et attitude de l’artiste face à ces entreprises de manipulation à grande échelle. A mesure que l’on parcourt ce labyrinthe en boucle, les éléments changent de place à l’aide de ces petits robots que l’on retrouve dans les entrepôts de livraison mondialisés. Comme un théâtre populaire dont le scénario est écrit à l’avance par algorithmes. Vertigineux et savant. Il faut prendre le temps de se pencher pour lire chacun des panneaux pour décrypter ce qui est en jeu, à l’instar de ces légendes qui défilent sur nos écrans et que l’on ne remarque même plus ! De Beuys au musée de Mossoul l’iconographie de la guerre se répand partout, tel un poison qui endort les consciences. On retrouve les « capsules noires » inquiétantes présentes au MRAC de Sérignan, refuge de survie de migrants ? La récente polémique de l’artiste américain Parker Bright (Biennale de Whitney) illustre que l’appropriation reste un vilain défaut… Commissaire: Guillaume Désanges Un bémol en ce qui concerne Massinissa Selmani, son installation ne semble pas entrer dans les enjeux de la taille de l’espace. C’est un peu dommage mais ses ilots fort intéressants autour de l’expérience de Louise Michel au bagne de Nouvelle Calédonie se perdent dans ce white cube. La pratique du dessin chez lui est un engagement de chaque instant. A noter une visite naturiste gratuite de Discorde est prévue le 5 mai ! Une première en France dans un musée, Sold-out en quelques jours… INFOS PRATIQUES : L’ennemi d mon ennemi Neil Beloufa jusqu’au 13 mai 2018 Palais de Tokyo 13, avenue du Président Wilson 75116 Paris de midi à minuit ! Saison la discorde http://www.palaisdetokyo.com/fr/liste/ Sortie le 28 mars 2018 http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19576918&cfilm=254050.html Marque-page0
L'Edition Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud La vie de Letizia Battaglia est un véritable roman, c’est pour cette raison que son amie, la journaliste Sabrina Piou, a souhaité ...
L'Invité·e Carte blanche à The Analog Club : Thibaut Piel, 10 ans de photographie vagabonde Pour leur deuxième carte blanche, nos invité·s de The Analog Club – lieu dédié à la photographie argentique à Paris – ont ...
Actu Art Contemporain Nouvelle saison d’art, Chaumont-sur-Loire : aux confins du merveilleux Ouverture de la Saison d’art 2025 au Domaine de Chaumont-sur-Loire et son annexe le Bois des Chambres lodge éco-responsable au bord d’un ...
Actu Art Contemporain Fondation groupe EDF, Marseille/Paris « Ames vertes », « Ce que l’horizon promet »
Actu Art Contemporain « Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce
Actu Art Contemporain Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini…
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Carte blanche à The Analog Club : Rencontre avec Florian Guillon-Antigny, artisan des procédés alternatifs en argentique 2 jours ago
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 20 heures ago
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 11 avril 2025