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« Chaque vie est une histoire », 13 artistes internationaux pour lever le voile au Musée national de l’histoire de l’immigration 4 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsPortraits d’enfances des 20 membres de MYOP Une fois n’est pas coutume, cette semaine ce n’est pas un, ni deux invités que nous recevons, c’est une agence entière ! MYOP rassemble aujourd’hui vingt photographes auteurs, avec l’arrivée récente de Chloé Sharrock, l’agence est d’ailleurs à la recherche de ses nouveaux membres avec un appel à candidature ouvert jusqu’au 15 octobre. Jusqu’à vendredi, MYOP reviendra sur leurs projets passés, présents et futurs ! Mais aujourd’hui, place au difficile exercice du portrait chinois. MYOP rassemble vingt auteurs qui confrontent leurs visions de la photographie contemporaine et leurs interrogations sur le monde d’aujourd’hui à travers les histoires qu’ils racontent. Depuis sa création en 2005, la notion de résistance est régulièrement au centre des discussions ; elle s’affirme par la défense d’une photographie documentaire à la subjectivité revendiquée. Le nom de l’agence est un hommage au poème de Paul Éluard « Mes yeux, objets patients / étaient à jamais ouverts / sur l’étendue des mers / où je me noyais ». MYOP est constituée des photographes Ed Alcock, Guillaume Binet, Julien Daniel, Agnès Dherbeys, Marie Dorigny, Julie Hascoët, Pierre Hybre, Olivier Jobard, Alain Keler, France Keyser, Oan Kim, Olivier Laban-Mattei, Stéphane Lagoutte, Jean Larive, Ulrich Lebeuf, Pascal Maitre, Olivier Monge, Julien Pebrel, Jeremy Saint-Peyre et Chloé Sharrock. Le bureau est composé de Guillaume Binet, Stéphane Lagoutte et Antoine Kimmerlin. http://www.myop.fr/ Vous souhaitez intégrer l’agence ? Déposez votre candidature avant le 15 octobre 2021. En savoir plus… Le portrait chinois de l’agence MYOP Si j’étais une œuvre d’art : Je serais un mot dessiné sur un mur. Si j’étais un musée ou une galerie : Je serais ouverte et indépendante. Si j’étais un(e) artiste (tous domaines confondus): Je serais pauvre. Si j’étais un livre : Je sentirais bon. Si j’étais un film : Je serais une planche-contact. Si j’étais un morceau de musique : Je serais punk. Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Je me ferais chier. Si j’étais une citation : Je serais enfermée. Si j’étais un sentiment : Je serais contredit. Si j’étais un objet : Je serais des yeux. Si j’étais une expo : 1/30 de seconde. Si j’étais un lieu d’inspiration : Je serais une rencontre. Si j’étais un breuvage : Je serais l’avant dernier verre. Si j’étais un héros/héroïne : Je serais de l’autre cote de l’appareil. Si j’étais un vêtement : Je serais par terre. CARTES BLANCHES DE NOS INVITÉ·ES • Carte blanche à l’agence MYOP : L’exposition Back to Black (mardi 28 septembre 2021) • Carte blanche à l’agence MYOP : 2012 | 2017 | 2022 | Années politiques (mercredi 29 septembre 2021) • Carte blanche à MYOP : What’s Up ? (jeudi 30 septembre 2021) • Carte blanche l’agence MYOP : Deepfake et photographie documentaire (vendredi 1er octobre 2021) ACTUALITÉS DE L’AGENCE STIMULTANIA Pôle de photographie33 rue Kageneck, 67000 Strasbourg ven08oct(oct 8)14 h 00 min2022dim09jan(jan 9)18 h 30 minBack to blackAgence MYOPSTIMULTANIA Pôle de photographie, 33 rue Kageneck, 67000 Strasbourg Détail de l'événementTimor oriental, 2006 – Guatemala, 1982 – Chili, 1974 – Tchéchénie, 1995 – Paris, 2020 – Afghanistan, 1999 – Géorgie, 2017 – Roumanie, 1989 – Québec, 1994 – Groenland, 2020 Détail de l'événement Timor oriental, 2006 – Guatemala, 1982 – Chili, 1974 – Tchéchénie, 1995 – Paris, 2020 – Afghanistan, 1999 – Géorgie, 2017 – Roumanie, 1989 – Québec, 1994 – Groenland, 2020 – Italie, 2015… Back to black = 97 œuvres de 1974 à nos jours, 20 photographes-auteurs. Back to Black est une exposition collective réunissant les vingt membres de l’agence MYOP autour de la pratique du noir et blanc et donnant largement la parole aux photographes. L’exposition a été conçue et montrée pour la première fois à l’occasion de MYOP in Arles 2021, Galerie Henri Comte. Depuis sa généralisation dans la presse à partir de la fin des années 1980, la photographie en couleur est devenue une norme, renforcée par l’apparition du numérique. Pourtant, nous avons choisi de nous intéresser au « noir » avec une sélection d’images hétéroclites, rassemblées par le lien étroit qu’entretiennent les photographes de MYOP avec cette pratique devenue marginale mais restée essentielle. Le noir et blanc, par l’indépendance et la liberté de traitement qu’il procure, par la richesse des techniques de tirage, représente un terrain d’expérimentation idéal, souvent très artisanal, souvent solitaire. Le laboratoire est un lieu d’introspection. Le noir et blanc constitue aussi le creuset de nos références visuelles. Les plus cités sont Josef Koudelka, Walker Evans, Robert Franck, William Klein … Tous en noir et blanc. Dans une agence qui revendique la diversité des écritures, il s’agit d’une culture commune, d’un point de référence, de racines et d’une source d’inspiration contemporaine. « Ma vision du noir et blanc ? Une grande liberté de moyen et d’interprétation, et souvent un terrain parfait pour l’expérimentation. Le laboratoire est, de plus, un lieu de rencontre personnel avec le médium, d’intimité, d’introspection. Certains auteurs l’utilisent à des moments spécifiques de leur vie : une rupture, une lassitude, le besoin impérieux de produire un sujet très personnel… » Olivier Monge « Le noir et blanc, je l’ai gardé pour moi. Je me permettais quelques pas de côté pour réaliser des projets plus personnels. Je prenais congé de l’agence. Je n’avais ni contrainte, ni obligation commerciale. » Olivier Jobard « Il fallait travailler en couleur pour les journaux et magazines qui étaient les principaux clients de l’agence, mais j’ai toujours gardé sur le ventre un Leica chargé de film noir et blanc. […] Le noir et blanc survécut ainsi à de nombreuses crises existentielles et professionnelles. » Alain Keler « À l’époque, nous nous procurions les chimies et le papier hongrois Forte PW14 dans une boutique totalement anachronique de Chinatown, où la dame aux cheveux violets appliquait systématiquement une ristourne de 5 %. » Agnès Dherbeys L’agence MYOP rassemble vingt auteurs qui confrontent leurs visions de la photographie contemporaine et leurs interrogations sur le monde d’aujourd’hui à travers les histoires qu’ils racontent. Depuis sa création en 2005, la notion de résistance est régulièrement au centre des discussions ; elle s’affirme par la défense d’une photographie documentaire à la subjectivité revendiquée. Le nom de l’agence est un hommage au poème de Paul Éluard « Mes yeux, objets patients / étaient à jamais ouverts / sur l’étendue des mers / où je me noyais ». L’agence MYOP est constituée des photographes Ed Alcock, Guillaume Binet, Julien Daniel, Agnès Dherbeys, Marie Dorigny, Julie Hascoët, Pierre Hybre, Olivier Jobard, Alain Keler, France Keyser, Oan Kim, Olivier Laban-Mattei, Stéphane Lagoutte, Jean Larive, Ulrich Lebeuf, Pascal Maitre, Olivier Monge, Julien Pebrel, Jeremy Saint-Peyre et Chloé Sharrock. Avec Ed Alcock, Guillaume Binet, Julien Daniel, Agnès Dherbeys, Marie Dorigny, Julie Hascoët, Pierre Hybre, Olivier Jobard, Alain Keler, France Keyser, Oan Kim, Olivier Laban-Mattei, Stéphane Lagoutte, Jean Larive, Ulrich Lebeuf, Pascal Maitre, Olivier Monge, Julien Pebrel, Jeremy Saint-Peyre et Chloé Sharrock Commissariat : Olivier Monge Scénographie : Roxane Daumas et Olivier Monge Coordination MYOP : Guillaume Binet, Antoine Kimmerlin, Stéphane Lagoutte Tirages piezography : Yonnel Leblanc / Initial Labo Photo. Quartier général de l’armée russe, Grozny, vendredi 27 janvier 1995 © Alain Keler/MYOP DatesOctobre 8 (Vendredi) 1 h 00 min - Janvier 9 (Dimanche) 5 h 30 min(GMT-11:00) LieuSTIMULTANIA Pôle de photographie33 rue Kageneck, 67000 Strasbourg STIMULTANIA Pôle de photographie33 rue Kageneck, 67000 StrasbourgOuvert du mercredi au dimanche de 14h à 18h30 Get Directions CalendrierGoogleCal GRAPh-CMiMaison des Mémoires, 53 Rue de Verdun 11000 Carcassonne ven12nov10 h 00 mindim12déc18 h 00 minFictions Documentaires 5ème édition du Festival de la photographie sociale CarcassonneApprivoiser le tigreGRAPh-CMi, Maison des Mémoires, 53 Rue de Verdun 11000 Carcassonne Détail de l'événementFiction documentaire – un oxymore en apparences, mais un genre photographique à part entière. Alliant la fiction et l’approche documentaire, il encapsule avec justesse ce qu’est notre société aujourd’hui. Cette Détail de l'événement Fiction documentaire – un oxymore en apparences, mais un genre photographique à part entière. Alliant la fiction et l’approche documentaire, il encapsule avec justesse ce qu’est notre société aujourd’hui. Cette pratique contemporaine est à l’image de ce qu’est le GRAPh ; une identité plurielle, qui mélange et allie des actions de programmation artistique aussi bien que des actions qualifiées de sociales. Pour sa cinquième édition, Fictions Documentaires comme les années précédentes, n’aborde pas une thématique particulière, mais balaie les champs des possibles et montre la diversité de la création dans ce domaine. La programmation festival rassemble de grands noms du monde de la photographie, précurseurs de la fiction documentaire (parfois à leur insu), et des photographes émergents, qui aujourd’hui peuvent se revendiquer de cette pratique qui porte enfin un nom. Avec les travaux de Mohamed BOUROUISSA, Prune PHI, Ulrich LEBEUF, Matthieu GAFSOU, Marine LECUYER et Omar IMAM, sous le commissariat de Christian Gattinoni. Journées professionnelles du 19 au 21 novembre 2021 : lectures de portfolios, rencontres critiques public/artistes, journée de l’édition photographique, projections… Situé à Carcassonne, le GRAPh développe depuis 1987 des actions artistiques, culturelles, pédagogiques et sociales en utilisant le médium photographique. Ce travail, mené au quotidien, permet d’offrir à chacun et à chacune un accès à la culture et à la pratique artistique de l’image sous toutes ses formes. https://www.graph-cmi.org/ (c) Mohamed Bourouissa – Galerie Kamel Mennour – carrerouge DatesNovembre 12 (Vendredi) 21 h 00 min - Décembre 12 (Dimanche) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuGRAPh-CMiMaison des Mémoires, 53 Rue de Verdun 11000 Carcassonne Get Directions CalendrierGoogleCal Galerie PARALLAX - Créations photographiques3 rue des Epinaux 13100 Aix en Provence sam18sep(sep 18)10 h 30 minsam20nov(nov 20)19 h 00 minFable(s)Thibaut Derien & Jean LariveGalerie PARALLAX - Créations photographiques, 3 rue des Epinaux 13100 Aix en Provence Détail de l'événementLa rencontre fortuite entre une Alice contemporaine et Osvaldo, un personnage digne de Jules Verne, telle peut se définir cette nouvelle exposition Fable(s) de la galerie Parallax. C’est le regard Détail de l'événement La rencontre fortuite entre une Alice contemporaine et Osvaldo, un personnage digne de Jules Verne, telle peut se définir cette nouvelle exposition Fable(s) de la galerie Parallax. C’est le regard touchant d’un père, Thibaut Derien, pour sa fille dans ce monde tumultueux rempli d’adultes et de buildings.. « Angèle n’est qu’une petite fille dans un monde de grands, un monde trop grand qui semble l’envelopper de son immensité. Elle s’agrippe à des mannequins de cire à sa taille, se cache derrière une barbe à papa, s’envole, propulsée dans les airs par une balançoire. Sait-elle seulement qu’elle va grandir ? » et le récit photographique de jean Larive sur un certain Osvaldo : « La série des Fragments d’Osvaldo questionne la nature de nos perceptions autant qu’elle revivifie nos perceptions de la Nature. Dans l’épaisseur et la transparence de leurs superpositions, les paysages traversés deviennent souvenirs, symboles… rêves et enchantements. Fictions et documents. » Faites un voyage dans les univers de ces deux photographes , Thibaut Derien et Jean Larive et, écoutez leurs fables modernes …. « Le monde d’Angèle » Photographies de Thibaut Derien Angèle est petite. Angèle est une enfant. Elle est plantée là, en plein dans chaque image. Le long du fleuve Saint-Laurent ou d’une avenue de Brooklyn, sur un ponton du lac Majeur ou dans le port de Stockholm, Angèle est toujours seule. Mais elle ne craint rien. Angèle a l’assurance fragile des enfants aimés. Les images défilent comme un voyage et l’on s’attache à cette frimousse qui nous engage à regarder ce nouveau monde qui l’entoure. La majesté des buildings, les grands espaces, mais aussi la surabondance des rayons d’un supermarché ou la cohue des casiers d’une piscine. Le temps passe, les décors changent. Seul persiste ce regard fixe. À quoi pense-t-elle ? Angèle n’est qu’une petite fille dans un monde de grands, un monde trop grand qui semble l’envelopper de son immensité. Elle s’agrippe à des mannequins de cire à sa taille, se cache derrière une barbe à papa, s’envole, propulsée dans les airs par une balançoire. Sait-elle seulement qu’elle va grandir ? C’est peut-être ce que se demande Thibaut Derien qui photographie sa fille depuis plusieurs années au hasard de voyages en famille, ému par ce nouveau monde, celui de père, comme pour mieux retenir l’enfance, ce temps qui ne s’enfuit pas encore tout à fait, mais qui ne saurait tarder. « Osvaldo » Photographies de Jean Larive LES FRAGMENTS D’OSVALDO par Jean Larive «Regarde, me dit-il, et regarde bien ! Il faut prendre des leçons d’abîme ! » Jules Verne, Voyage au centre de la Terre. (…) Je regarde devant moi le «V» qu’elle a creusé, la part de montagne qu’elle a prélevée; sables, roches et galets. Je me retourne : le même air ancien, la même nature. Je regarde en moi ce qu’elle a creusé. Ce qu’elle a déposé. Tout passe en un instant de la vision ondoyante auregard qui se fixe, avant de reparNr et de s’évanouir. Et toujours ceQe lancinante et obsédante quesNon : De quoi une rivière est-elle la source ? (extrait des Fragments d’Osvaldo) Composés de tableaux photographiques et de courts extraits de texte, les Fragments sont comme les pages arrachées, perdues et retrouvées d’un récit de voyage illustré. Dans l’épaisseur et la transparence de leurs superpositions, les paysages traversés durant cette expédition deviennent souvenirs, symboles, rêves et enchantements… documents et fictions. Car si l’on ne saurait dater avec précision ces compositions, certains éléments laisseraient à penser que cette aventure pût avoir lieu. Photo : © Thibaut Derien DatesSeptembre 18 (Samedi) 21 h 30 min - Novembre 20 (Samedi) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuGalerie PARALLAX - Créations photographiques3 rue des Epinaux 13100 Aix en Provence Galerie PARALLAX - Créations photographiques3 rue des Epinaux 13100 Aix en ProvenceOuvert du mardi au samedi de 10h30 à 12h30 et de 15h à 19h Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page1
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