Planches Contact Festival : Arno Rafael Minkkinen, une série inédite pour un duo et une rétrospective 2 jours ago
Planches Contact Festival : Henrike Stahl déconstruit le mythe du prince charmant et de la vie de château 1 heure ago
Planches Contact Festival : Interview Veronica Mecchia, Photographe et modèle d’Arno Rafael Minkkinen 3 jours ago
Rencontre Delphine Dumont, directrice Hangar Bruxelles : PhotoBrussels Festival #10, Bicentenaire de la photographie x CNAP 4 jours ago
« There is a crack in everything » Musée Juif de Belgique, rencontre Barbara Cuglietta : La faille est indissociable de la lumière 1 jour ago
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 2 jours ago
L'Invité·e Où est la photographie à la télévision française ? Le Coup de gueule de Thierry Bigaignon La Rédaction18 septembre 2018 Partager Partager Chaque fois que j’allume la télévision sur une émission culturelle, un magazine hebdomadaire ou une quotidienne, je m’émeus de ne pas y voir de rubrique, d’interview ou de reportage traitant de photographie. Si je salue volontiers le travail de la presse écrite consacrant de nombreux articles au medium, je ne parviens pas à comprendre pourquoi les médias, et plus particulièrement les médias de l’audiovisuel, ne parlent JAMAIS de photographie, n’invitent jamais de photographes sur leurs plateaux, ni même ne montrent de livres photo. La seule émission radio consacrée à la photographie, « Regardez voir », s’est vue amputer des trois-quarts de son temps d’antenne. Lorsque l’on prend en considération le fait que, d’une part, le champs culturel dans son ensemble peut difficilement survivre sans vitrine médiatique, que d’autre part les médias se nourrissent abondamment de contenu culturel, comment concevoir que la photographie soit laissée pour compte ? La photo est la forme artistique la plus répandue au monde. Chacun y a accès, nombreux sont ceux qui s’y adonnent, en dilettante ou bien dans l’espoir d’en vivre. Le paradoxe est flagrant et pourtant, les émissions de grand audience comme « On n’est pas couché » ou « C à vous » ou les JT n’invitent jamais de photographes alors que ces artistes couvrent des champs extrêmement variés. La photographie peut être facile à comprendre ou totalement hermétique, mais dans tous les cas, elle sait créer l’émotion et peut déchaîner les passions. Pourquoi les artistes déjà ultra connus, hyper médiatisés – morts le plus souvent ! – font-ils seuls l’objet d’une chronique lorsqu’on leur consacre une exposition un peu hors du commun ou une rétrospective. On reçoit les romanciers, on invite les comédiens, on écoute en boucle les titres tendance, on met à l’honneur les rares expositions muséales qui font sensation, mais les photographes ne sont jamais au sommaire. Il faudrait offrir un tour d’horizon des expositions en cours, en province comme à Paris, permettre aux artistes de s’exprimer. Il serait bon de promouvoir le travail des galeries dont l’une des vocations est de proposer des expositions gratuites, variées, de qualité muséale, et qui permet un accès facile à la culture. Les galeristes sont des passionnés, désireux de mettre en avant des artistes qu’ils ont choisis, et se donnent pour mission d’expliquer le travail exposé, de défendre l’oeuvre de l’artiste. La France n’est pas la seule mauvaise élève. Aux Etats-Unis, au Japon ou en Italie, nations pourtant toutes réputées pour le nombre de leurs photographes talentueux, le scénario est le même. Pourquoi le cinéma, la musique, le théâtre et jamais la photographie alors que celle-ci passionne les foules ? Si l’argument est de dire qu’un média grand public ne peut mettre en avant des « produits culturels » chers et qu’une photographie coûte généralement cher par rapport à un ticket de cinéma, un CD, une billet de concert ou une place de théâtre, quid des livres photo, des festivals, des expositions gratuites proposées en galerie 365 jours par an ! Missing Event Data Marque-page1
Âlathar, Seul(e) Après Daesh Lara-Scarlett Gervais témoigne de la destruction et de la reconstruction du Patrimoine
L'Invité·e Carte blanche à Adélie de Ipanema : Eloïse Labarbe-Lafon & Alexander Gronsky Pour sa quatrième et exceptionnellement cinquième, carte blanche, notre invitée de la semaine, Adélie de Ipanema, a choisi de nous présenter deux ...
L'Invité·e Carte blanche à Adélie de Ipanema : Laurence Geai. Le baiser du Carillon. Janvier 2016 Pour sa troisième carte blanche, notre invitée de la semaine, Adélie de Ipanema, la directrice de Polka, a choisi de revenir sur ...
L'Invité·e Carte blanche à Adélie de Ipanema : Joel Meyerowitz – Rosewood Cottages, 1976 Pour sa deuxième carte blanche, notre invitée de la semaine, Adélie de Ipanema, la directrice de Polka, a choisi le cliché Rosewood ...
L'Invité·e Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des images qui se rencontrent… et qui se jouent de nous
Planches Contact Festival : Arno Rafael Minkkinen, une série inédite pour un duo et une rétrospective 2 jours ago
Planches Contact Festival : Henrike Stahl déconstruit le mythe du prince charmant et de la vie de château 1 heure ago
Planches Contact Festival : Interview Veronica Mecchia, Photographe et modèle d’Arno Rafael Minkkinen 3 jours ago
Rencontre Delphine Dumont, directrice Hangar Bruxelles : PhotoBrussels Festival #10, Bicentenaire de la photographie x CNAP 4 jours ago
« There is a crack in everything » Musée Juif de Belgique, rencontre Barbara Cuglietta : La faille est indissociable de la lumière 1 jour ago
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 2 jours ago