Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier 21 heures ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 3 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 3 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Jérémy Appert, Second Lauréat du Prix du Jury de la Jeune Création photographique 26 novembre 2025
Entretien avec Annabelle Lacour, Responsable des collections photographiques du musée du Quai Branly et commissaire de l’exposition « Hoda Afshar Perfomer l’invisible » 25 novembre 2025
Partager Partager L'ActuPhoto L’Hôtel de Sauroy présente Anima Lapidum d’Estelle Lagarde Pascal Therme22 mai 2019 L’Hôtel de Sauroy accueille jusqu’au 8 juin l’exposition consacrée à Estelle Lagarde. Elle y présente sa série « Anima Lapidum, l’âme des pierres » où l’architecture du sacré inspire des mises en scène anachroniques. À l’occasion de cette exposition, on découvre une sélection de sa série inédite « Au Château ». Le vernissage s’est tenu la semaine dernière et notre critique Pascal Therme a rencontré Estelle Lagarde. Entretien… « De Anima Lapidum » Lux-in tenebris © Estelle Lagarde / Agence Révélateur « L’idée de cette série remonte le jour où j’ai enterré l’homme que j’aimais. C’était en 2004 et je me souviens encre très bien, lorsque je me suis penchée sur le cercueil j’ai ressenti une masse sombre au dessus de moi… C’était tout simplement le plafond de l’Eglise qui était très haut. C’est à ce moment là que j’ai eu envie de faire une série sur les Eglises et les Cathédrales. Finalement je l’ai réalisé que plus tard, entre 2013 et 2016. Le point de départ c’est le notion de mort et de disparition. Trois ans après avoir achevé cette série, j’ai encore du mal à m’en remettre…« <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> Dans la série « Anima Lapidum », il est question de cheminements pluriels dans toute l’œuvre d’Estelle Lagarde. C’est de la rencontre avec une architecture, de l’appréhension d’une lumière et d’un certain écoulement du temps que naissent les narrations photographiques de l’artiste, échos à ses propres interpellations qui deviennent à leurs tours les nôtres. Ses mises en scène photographiques questionnent l’apparence de nos existences pour mieux explorer nos vies intérieures. Elles sondent de manière onirique, parfois avec humour ou décalage, les enjeux, petits ou grands, de nos existences. La spécificité de chacun des théâtres de ses prises de vues correspondant à telle ou telle interrogation. Avec «De Anima Lapidum» Estelle Lagarde se livre à la matérialisation d’une intériorité. En plaçant sa chambre photographique dans plusieurs édifices religieux, aux quatre coins de la France, elle met en images une réflexion sur les relations s’établissant entre l’humain et les architectures de ces monuments. C’est aussi notre propre mystique qui est ici sondée à travers la mémoire, les souvenirs et l’Histoire qui imprègnent les murs de ces monuments sacrés, témoins et gardiens de secrets, de péchés et d’espérances. De petites églises de campagne en majestueuses cathédrales, et jusqu’au Monastère Royal de Brou, Estelle Lagarde porte un regard singulier et inspiré sur ce que suscitent et déclenchent en nous ces architectures souvent millénaires. En compagnie d’étranges personnages, elle nous offre un voyage entre contemplation, rêve et méditation… <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> Cette exposition est l’occasion pour Estelle Lagarde de dévoiler la série inédite « Au Château ». Les personnages rencontrés par la photographe semblent être les prisonniers consentants de ce lieu. A l’écart des turpitudes du monde, ils ont connu une évolution qui ai propre à chacun d’entre eux. L’humain se matine de végétal, d’animal, reste figé dans un âge, dans une condition, dans un rôle. Un sentiment familier nous saisit. Les protagonistes nous sont habituels, issus de l’Histoire, de la littérature, du théâtre… Et pourtant quelque chose d’inédit se passe. Un décalage. L’enfermement et l’isolement ont à la fois stoppé leur possibilité d’émancipation mais également opéré d’étranges mutations ou comportements. Tout ce petit monde semble régi par des règles qui nous échappent. Ils glissent en silence, en chuchotements, en rires contenus. Prêts à disparaître, à se fondre dans les moulures en bois, dans les pierres, à emprunter des portes dérobées. «Au Château» est un cabinet de curiosités vivant, autonome. Profitons maintenant de la représentation puis laissons l’éternité aux êtres du château… Jusqu’à leurs prochaines apparitions. A LIRE Les Libertés Conditionnelles d’Estelle Lagarde (1ère partie) Les Libertés Conditionnelles d’Estelle Lagarde (2ème partie) Estelle Lagarde, passeuse d’âmes Rencontre avec Olivier Bourgoin de l’agence Révélateur autour de ContreNuit Carte blanche à Olivier Bourgoin : Une histoire de rencontres, L’agence révélateur INFORMATIONS PRATIQUES Hotel de Sauroy58 Rue Charlot 75003 Paris lun13mai(mai 13)14 h 00 minsam08jui(jui 8)19 h 00 minDe Anima Lapidum - L'âme des pierresEstelle LagardeHotel de Sauroy, 58 Rue Charlot 75003 Paris Détail de l'événementL’Espace photographique de Sauroy accueille l’exposition «De Anima Lapidum. L’âme des pierres», photographies d’Estelle Lagarde, du 13 mai au 8 juin 2019. Il est question de cheminements pluriels dans toute Détail de l'événement L’Espace photographique de Sauroy accueille l’exposition «De Anima Lapidum. L’âme des pierres», photographies d’Estelle Lagarde, du 13 mai au 8 juin 2019. Il est question de cheminements pluriels dans toute l’oeuvre d’Estelle Lagarde. C’est de la rencontre avec une architecture, de l’appréhension d’une lumière et d’un certain écoulement du temps que naissent les narrations photographiques de l’artiste, échos à ses propres interpellations qui deviennent à leurs tours les nôtres. Dates13 Mai 2019 14 h 00 min - 8 Juin 2019 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuHotel de Sauroy58 Rue Charlot 75003 ParisOther Events Hotel de Sauroy58 Rue Charlot 75003 Parisdu lundi au samedi, de 11h à 19h nocturne les jeudis jusqu’à 21h entrée libre Hotel de Sauroy Expand Get Directions Adresse CalendrierGoogleCal Marque-page1
News Les nouvelles expos à voir en décembre ! Chaque mois, dans notre rubrique Agenda, nous référençons des centaines de nouveaux événements photographiques en France. Alors que nous rentrons en pleine ...
News Le Palmarès 2025 du Festival Les Nuits Photo Ivan Poutnik, remporte le Grand Prix LNP Les Nuits Photo, festival de cinéma d’un nouveau genre dédié au film photographique, se sont déroulées le week-end dernier à Paris. Cette ...
Actu Art Contemporain « Chromoscope » à la Cité de l’architecture : Interview Matthieu Poirier, commissaire Sous l’impulsion de Marie Ameller, directrice générale de la Cité de l’architecture et du patrimoine et de Jean-Roch Bouiller, directeur du musée, ...
L'Actu Mesures d’austérité : quels impacts sur le secteur de la photographie et l’édition photographique ?
Evénements Harold Feinstein et l’expérience américaine. Exposition La roue des merveilles¹ à la Maison de la Photographie Robert Doisneau
Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier 21 heures ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 3 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 3 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Jérémy Appert, Second Lauréat du Prix du Jury de la Jeune Création photographique 26 novembre 2025
Entretien avec Annabelle Lacour, Responsable des collections photographiques du musée du Quai Branly et commissaire de l’exposition « Hoda Afshar Perfomer l’invisible » 25 novembre 2025
Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier