Parlement de la Photographie 2025 : La photographie dans les Outre-mer Rencontre avec Jordan Beal 2 jours ago
La photographe Zélie Hallosserie est la lauréate du Prix de Photographie Saltzman-Leibovitz 2025 4 jours ago
Harold Feinstein et l’expérience américaine. Exposition La roue des merveilles¹ à la Maison de la Photographie Robert Doisneau 5 jours ago
Parlement de la Photographie 2025 : La photographie dans les Outre-mer Rencontre avec Jordan Beal 2 jours ago
Rencontre avec Manuela Federl « Avec mon travail, je veux donner une voix aux personnes qui ne peuvent pas parler pour elles-mêmes » 6 jours ago
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 30 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 7 et fin) 4 jours ago
Masterclass Oeildeep : « L’appel de l’horizon », un renouveau immortalisé par Rebecca Rubcke 2 mai 2025
« Une nature moderne » au Crédac avec Silvana Mc Nulty : « L’accident se loge entre la répétition et la variation, l’obsession et le détournement » 5 jours ago
L'Invité·ePhoto Jane Evelyn Atwood, photographe, est notre invitée La Rédaction26 novembre 2018 Portrait d'enfance de Jane Evelyn Atwood Partager Partager Temps de lecture estimé : 5minsCette semaine, nous recevons l’une des plus importantes photographes contemporaines : Jane Evelyn Atwood. Au printemps dernier, nous avons pu découvrir au théâtre, l’adaptation de son livre « Trop de Peines » sur les femmes en prison. Un hommage émouvant de plus de 10 ans de travail photographique. Cet été, les Rencontres d’Arles sont revenues sur son travail réalisé à Pigalle à la fin des années 70 avec un ouvrage aux éditions du Bec en l’air… Jusqu’à vendredi, Jane Evelyn partagera avec nous des instants de sa vie, elle nous parlera de ce qui l’a touchée, ce qui l’a émue, de ses débuts à aujourd’hui… Américaine de Paris depuis plus de quarante cinq ans, Jane Evelyn Atwood appartient clairement à une tradition du reportage et du documentaire venue d’outre-Atlantique : « concerned photographer », elle pratique le « photo essay » pour des enquêtes de fond. Il n’est pas surprenant qu’elle ait été la première lauréate du prestigieux prix de la W. Smith Foundation. Son premier opus, consacré aux prostituées de la rue des Lombards à Paris, est une exploration d’un univers qui obéit à des règles précises et se fonde sur une rigueur généreuse. Son ensemble suivant, consacré aux « aveugles » qu’elle suivit dans de nombreux pays, la fit immédiatement reconnaître comme l’une des grandes praticiennes de la photographie sociale, dans une écriture à la fois simple, efficace, classique et sensible. Empathie avec ses sujets, immersion, refus du superficiel, respect permanent de l’autre, Jane pactise avec le temps et ne lutte pas contre lui. Elle procèdera de même avec son grand ensemble sur les femmes en prison dans le monde ou les mines antipersonnel. Bien qu’elle ait toujours privilégié le noir et blanc, elle a produit plusieurs ensembles importants en couleurs, l’un sur la Légion étrangère, un autre sur Haïti et, enfin, un dernier bouleversant, sur un malade atteint du sida qu’elle a accompagné jusqu’au bout. Le premier témoignage responsable et important sur la pandémie vécue au quotidien. Portrait chinois de Jane Evelyn Atwood Si j’étais un oeuvre d’art : une tête de cheval gravée par Rosa Bonheur Si j’étais un musée ou une galerie : Le Guggenheim, New York, U.S.A. Si j’étais une (autre) artiste: Tina Turner Si j’étais un livre : Of Mice and Men de John Steinbeck Si j’étais un film : La Leçon de Piano de Jane Campion Si j’étais un morceau de musique : Walk On The Wild Side – Lou Reed Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Le peintre de la Tour Eiffel de Marc Riboud Si j’étais une citation : Parfois on a l’impression que les photos ne servent à rien ; il faut les faire quand-même. Si j’étais un sentiment : la joie Si j’étais un objet : un presse-papier en verre Si j’étais une expo : Diane Arbus, Metropolitan Museum of Art, New York, U.S.A. Si j’étais un lieu d’inspiration : L’Ile d’Ouessant Si j’étais un breuvage : du champagne Si j’étais une héroïne : Simone Veil Si j’étais un vêtement : le bustier de Jean-Paul Gaultier La Carte blanche de notre invitée > Carte blanche à Jane Evelyn Atwood : Sa rencontre avec Lisette Model (mardi 27 novembre 2018) > Carte blanche à Jane Evelyn Atwood : Too Much Time au théâtre (mercredi 28 novembre 2018) > Carte blanche à Jane Evelyn Atwood : Correspondance Pigalle People (jeudi 29 novembre 2018) > Carte blanche à Jane Evelyn Atwood : Un Impossible Amour (vendredi 30 novembre 2018) https://www.janeevelynatwood.com Suite à la publication de cet article du 26 novembre 2018, de nombreuses erreurs ont été mises en ligne et nous tenons à nous en excuser. « J’ai été contente de participer à votre revue en ligne mais je regrette vivement que ce soit plein d’erreurs. Voilà mes corrections: Mon nom n’a PAS de trait d’union (j’ai signé mes textes avec le nom correct – pourquoi vous avez pris l’initiative d’ajouter un trait d’union???) Et encore une fois, si vous avez des doutes, pourquoi ne pas me demander..? Et une fois, même, en dessous de la photo, AVELYN, au lieu de EVELYN. (merde, alors!) Ça n’est PAS Le BEL en L’Air, comme maison d’édition pour Pigalle People, mais Le BEC en L’Air. Mon travail sur les femmes prostituées n’a pas fait rue St. Denis, mais rue des Lombards – c’est quand-même le titre du livre..!! Mon travail sur les aveugles je l’ai fait dans plusieurs pays, pas seulement à Paris. Dans la phrase, “Au printemps dernier année” Ca n’existe pas. Soit “printemps dernier”, soit, “printemps de cette année”. Dans la phrase, “Cet été les Rencontres D’Arles sont revenus…” il faut écrire, “revenues”. Et enfin, je ne me considère PAS comme “femme photographe”, mais photographe tout court. Le terme “femme photographe” je le trouve réducteur et sexiste – et je le dis dans plusieurs interviews depuis longtemps. Vous m’avez dit que vous alliez corriger mes textes – je crains le pire! S’il vous plait, envoyez-les moi avant de les mettre en ligne. Je suis désolée de devoir vous dire tout ça, mais ces erreurs inexcusables rendent votre site amateur et pas sérieux. En tout cas, parce qu’il s’agit de moi, vous auriez dû me le soumettre avant publication. Comme rectification, je demande que vous mettiez en ligne cet email. Merci. Jane Evelyn Atwood » Marque-page4
Rencontre avec Nathalie Locatelli de la galerie 127 : « Le modèle est à réinventer au Maghreb, celui calqué sur l’occident ne fonctionne pas ! »
L'Interview Parlement de la Photographie 2025 : La photographie dans les Outre-mer Rencontre avec Jordan Beal La sixième édition du Parlement de la Photographie s’apprête à célébrer le bicentenaire de la Photographie les 17 et 18 juin prochains au ...
Photo Les « Mondes intérieurs » de Stéphanie Labé. Une ode à la nature Aujourd’hui, nous avons choisi de partager avec vous la série Mondes intérieurs de Stéphanie Labé, photographe landaise. Véritable ode à la nature, ...
News Les nouvelles expos à voir en mai ! Chaque mois, dans notre rubrique Agenda, nous référençons des centaines de nouveaux événements photographiques en France (mais aussi en Belgique et en ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Parlement de la Photographie 2025 : La photographie dans les Outre-mer Rencontre avec Jordan Beal 2 jours ago
La photographe Zélie Hallosserie est la lauréate du Prix de Photographie Saltzman-Leibovitz 2025 4 jours ago
Harold Feinstein et l’expérience américaine. Exposition La roue des merveilles¹ à la Maison de la Photographie Robert Doisneau 5 jours ago
Parlement de la Photographie 2025 : La photographie dans les Outre-mer Rencontre avec Jordan Beal 2 jours ago
Rencontre avec Manuela Federl « Avec mon travail, je veux donner une voix aux personnes qui ne peuvent pas parler pour elles-mêmes » 6 jours ago
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 30 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 7 et fin) 4 jours ago
Masterclass Oeildeep : « L’appel de l’horizon », un renouveau immortalisé par Rebecca Rubcke 2 mai 2025
« Une nature moderne » au Crédac avec Silvana Mc Nulty : « L’accident se loge entre la répétition et la variation, l’obsession et le détournement » 5 jours ago