Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier 22 heures ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 3 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 3 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Jérémy Appert, Second Lauréat du Prix du Jury de la Jeune Création photographique 26 novembre 2025
Entretien avec Annabelle Lacour, Responsable des collections photographiques du musée du Quai Branly et commissaire de l’exposition « Hoda Afshar Perfomer l’invisible » 25 novembre 2025
CinemaL'Invité·e Carte Blanche à Philippe Augier : KIM Ki-duk La Rédaction20 avril 2017 Partager Partager Philippe Augier est notre invité de la semaine (lire son portrait publié lundi 17 avril), dans le cadre de sa carte blanche, le Maire de la ville de Deauville, nous parle du réalisateur sud-coréen KIM Ki-duk et en particulier de son film « Printemps, Eté, Automne, Hiver ». Deauville est vraiment la ville où se rencontrent les cultures. Particulièrement avec le cinéma. Il y a en septembre le Festival du Cinéma Américain, et en mars le Festival du Film Asiatique, qui s’est interrompu mais dont j’ai bon espoir qu’il renaisse bientôt. À travers ces deux événements, j’ai eu la chance de faire des découvertes et parfois des rencontres. Je me souviendrai ainsi longtemps de ce dîner à la maison, avec ces deux monstres que sont Coppola et Lukas. Le Parrain et La Guerre des Étoiles, réunis dans mon salon !! Mais il y a eu aussi le choc esthétique avec le cinéaste coréen, KIM Ki Duk. J’ai vu plusieurs de ses films, mais l’un d’entre eux m’a particulièrement ému : Printemps, Ete,Automne, Hiver…Il s’agit de l’histoire d’un Maitre zen et de son disciple, isolés au milieu de la nature, dans un temple bouddhiste au milieu d’un lac. Chaque saison est celle d’une étape de l’initiation qui voit le disciple passer progressivement de l’enfance à l’adolescence et à l’âge d’homme. Saisons de la nature, saisons de la vie, saisons de l’esprit. C’est une sorte de long poeme aux grands rythmes de la nature, une méditation sur la transmission et sur l’apprentissage. C’est un film profond qui mêle la tendresse et la cruauté, qui sait que ce chemin de l’amélioration de l’être est fait de ratés et de rebonds….qui peuvent permettre, au bout du chemin, l’accomplissement. Merveilleux film ! Marque-page0
L'Invité·e Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier Pour leur deuxième carte blanche, nos invités de la semaine, Michel Bousquet et Gilles Coulon – les cofondateurs de la PODA, collection ...
L'Interview Planches Contact Festival : Interview Amélie Chassary, Ode à la dentelle normande Pour son projet sur la dentelle normande, Amélie Chassary s’est appuyée sur la photographie, la peinture et la poésie. Ô Dentelles est ...
L'Invité·e Carte blanche aux fondateurs de la PODA : L’ami presque américain, Jérôme Brézillon Pour leur première carte blanche, nos invités de la semaine, Michel Bousquet et Gilles Coulon – les cofondateurs de la PODA, collection ...
Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier 22 heures ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 3 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 3 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Jérémy Appert, Second Lauréat du Prix du Jury de la Jeune Création photographique 26 novembre 2025
Entretien avec Annabelle Lacour, Responsable des collections photographiques du musée du Quai Branly et commissaire de l’exposition « Hoda Afshar Perfomer l’invisible » 25 novembre 2025
Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier